Valérie qui est parvenue à se hisser au Top 10 du classement des plus grands Maestro vient d’être éliminée de N’oubliez pas les paroles ce samedi 12 septembre avec 203.000 euros dans sa cagnotte. A l’issue de quoi la coiffeuse Belge s’est confiée au micro de Télé Star.

Suivez les confidences du Maestro dans les colonnes du Télé Star lorsqu’elle est revenue sur cette défaite…

Qu’est-ce qui, selon vous, serait à l’origine de votre défaite ?


« Une erreur de révision ». Sur le titre La Bohème de Charles Aznavour, Valérie avait, en effet, cru entendre « une orange » au lieu d’ »une hanche« . Et la Belge était, à ce moment-là, sûre de son coup qu’elle espérait fortement pouvoir aller au bout de la chanson.

Etes-vous déçue de cette défaite ?


Et celle qui s’est qualifiée pour les Masters de répondre par l’affirmative : « Je l’ai été, oui ». Et de continuer : « Sur le moment, ça m’a fait rager. Le lendemain de ma défaite, j’ai eu comme un vide. Mais après, je me suis reprise. C’est un jeu, c’est comme ça ».

Etant donné que votre principal objectif était de participer aux Masters. Vous voilà classée dans le Top 10 ! Peut-on dire que l’objectif est atteint ?


Et Valérie de rétorquer et d’avouer être fière d’avoir pu arriver à atteindre cet objectif : « Pour moi, c’est le top de pouvoir participer aux prochains Masters ! J’ai hâte et, d’ailleurs, je m’entraîne déjà. J’en profite tant que je suis dans le bain ».

Vos gains sont-ils assez suffisants pour vous offrir votre maison de rêve dans le sud de l’Italie ?


Et Valérie de confier malencontreusement que « Non » étant donné que la maison en question est très coûteuse ! Toutefois, elle reconnaît que ses gains restent très alléchants ! Elle n’a pas à se plaindre ! « La première chose que je veux faire avec mes gains, c’est faire plaisir à ma famille », révélait-elle avant de raconter ses projets de voyage. « La Nouvelle-Zélande, ça serait le top », poursuivait la Belge.

Qu’en est-il de votre famille ? Comment ont-ils réagi à votre défaite ?


Et la Maestro de Nagui de dire que son époux fût « très déçu. C’est moi qui ait dû le consoler ! ».