Vivement critiquée pour son physique, “Dégoutée”, Alexandra répond étonnamment !

Il est peu de le dire, Alexandra est l’une des femmes qui ont marqué cette aventure de par son incroyable performance.

Si Alexandra recevait énormément de messages saluant ses performances, cela ne l’empêchait pas non plus d’être fréquemment critiquée et particulièrement sur son physique.

Le 14 octobre dernier, celle qui se dit être une Wonder Woman dans son portrait s’est finalement emparée de son compte Instagram pour répondre une bonne fois pour toute à ses détracteurs.
« Je ne suis pas une grande gueule« , prévenait-elle à l’avance avant de s’adresser à ses haters : « À toi qui t’es moqué de ma voix, de mon physique, de mon état et encore de ma voix, je n’ai qu’une chose à dire : heureusement que je n’ai pas participé à The Voice ou Miss France, accouchait la maman de 32 ans. J’ai le droit d’être ‘belle’ sur Instagram et ‘moche’ sur Koh-Lanta ou inversement… Ne me sous-estime pas parce que je n’ai pas les tablettes du sportif de haut niveau : moi le chocolat je le mange. L’habitude d’être jugée au quotidien a décuplé ma niac et je l’exprime aujourd’hui à travers l’aventure. »

Et de poursuivre : « Est-ce parce que je suis une fille que je suis jugée sur des trucs superficiels comme la beauté, le poids, le son de ma voix ou les poils ??? On m’a souvent dit que j’avais les épaules trop larges et que je devais arrêter de muscler mes bras car ce n’est pas ‘beau’ sur une femme, se rappelait-elle. Et de leur expliquer CASH : « Moi mes bras j’en ai eu besoin pour porter mes filles, les épreuves de la vie et aujourd’hui les sacs de riz. »

J’avais l’impression de devoir en faire toujours plus  » !


Alexandra de revenir encore une fois sur la question lors d’une récente entrevue :” J’avais l’impression de devoir en faire toujours plus, alors que certains ont du charisme ou de la légitimité dès le départ parce que ce sont des athlètes de haut niveau ou autre chose. J’ai remarqué que nous, les femmes, sommes très critiquées, nous, à cause de nos cheveux, de notre physique “, avant qu’elle ne conclut : ” Je ne comprends pas. Lorsque nous allons à Koh–Lanta, nous souhaitons montrer que nous pouvons être là, avec détermination, force mentale et physique et relever les défis. Quand, ce qui ressort, ce sont les choses superficielles comme ça, ça me dégoûte “.