En raison de la vulnérabilité de son état de santé, l’ancienne Première Dame Bernadette Chirac a décidé de mettre un terme à l’une de ses prestigieuses fonctions prestigieuses au sein d’un grand groupe français.

Comme la santé du Président, celle de Bernadette Chirac est également entrain de décliner ostensiblement depuis ces dernières années. Au bout de neuf longues années d’activités au sein du prestigieux groupe LVMH, la mère de Claude Chirac a pris la décision de démissionner d’une poste à responsabilité.

La nouvelle a été, en effet, annoncée à travers un communiqué publié par l’AFP : « l’ancienne première dame quitte le conseil d’administration du groupe, auquel elle siégeait depuis 9 ans maintenant. Iris Knobloch, présidente de Warner Bros France prendra désormais sa place ».

Une femme « fatiguée et fragile ».


Bernadette Chirac a toujours été une femme très engagée dans chacune de ses occupations. Etant actuellement vulnérable côté santé, l’ancienne Première dame ne peut se déplacer qu’avec l’aide d’un fauteuil roulant. Cette femme d’influence se fait de plus en plus rare sur la scène publique.

A cet effet, sa dernière apparition remonte à juin 2018 du temps où elle inaugurait de l’avenue portant son nom et celui du président, située à Brive-la-Gaillarde. Toutefois, elle continue toujours à militer pour les autres activités auxquelles elle est attachée.

Quoique au-delà de ses nombreuses fonctions, Bernadette Chirac est mêmement aux prises avec la santé très fragile de son époux Jacques Chirac. Aujourd’hui, libérée d’une de ses fonctions, l’octogénaire aurait désormais plus de temps à consacrer à son mari. Celle qui a perdu sa fille Laurence en 2016 (des suites de son anorexie, NDLR) se verra sûrement contrainte de se détacher de ses autres obligations pour les prochaines semaines. L’ex-Première dame, que l’on connaît pour être une femme de tempérament, est devenue, à l’heure actuelle, une femme « fatiguée et fragile » comme le dépeint Erwan L’Eléouet.