Atteint d’un double cancer de la gorge et de l’œsophage, depuis maintenant trois ans, l’ex-patron du club marseillais, Bernard Tapie, ne compte pas baisser les armes face à une maladie ô combien mortelle. En outre, il est plus que déterminé à repousser le moment fatidique. Ainsi, « Voici » précise que Bernard Tapie « s’est soumis à de nombreux traitements depuis qu’il a découvert son cancer, en 2017. Après plusieurs chimiothérapies, il aurait accepté de se soumettre à un traitement expérimental ».
Pas plus tard que l’année dernière, il aurait commencé une thérapie qui révolutionne l’oncologie et qui répond au nom de MRIdian. Il s’agit en effet d’un « traitement expérimental » qui relève de l’immunothérapie. Ce qui explique son aller-retour vers la Belgique.
« Je suis une sorte de cobaye pour la médecine ».
« Il y a trois stades pour le lancement d’un nouveau traitement sur le marché. Mon traitement est au deuxième stade. Il faut attendre des résultats suffisants pour qu’il passe au troisième stade, précise Bernard Tapie dans une interview pour le compte du site dh.net et rapporté par Paris Match. Je suis une sorte de cobaye pour la médecine ».
Ce serait un traitement capable de s’attaquer à la fois aux cellules cancéreuses et aux métastases des tissus mous du corps. L’appareil permet de détecter leurs circulations dans l’organisme du malade et ainsi d’épargner les tissus sains pendant la séance d’irradiation.
« Oui, je serais mort sans ça ».
Bernard Tapie fait part de son offuscation qu’un protocole de tel calibre n’est pas autorisé en France : « Pour avoir la paix, les médecins refusent de vous soumettre à ce traitement. Mais si on ne l’avait pas mis en route, je ne serais certainement plus là pour vous en parler. Oui, je serais mort sans ça », assure-t-il.
Un traitement très éprouvant !
Le mari de Dominique est très franc quant à ses difficultés de suivre ce traitement. Le papa de quatre enfants raconte avoir vécu « des moments très compliqués » et subi des « effets secondaires épouvantables ». Quoique le papa de Sophie Tapie n’abandonne rien et « serre les dents » : « La tumeur a pris un sale coup », révèle-t-il.