Comme à leur habitude, Brigitte et Emmanuel Macron se sont rendus au Touquet pour accomplir leur devoir de citoyenneté au second tour des élections municipales du dimanche 28 juin 2020.

Ils ont croisés quelques élus locaux dont Daniel Fasquelle, l’ennemi juré de leur gendre.

Le conflit entre Daniel Fasquelle et Antoine choteau, l’époux de Tiphaine Auzière, remonte quelques années plutôt, depuis les obsèques du père de celui-ci quand le député aurait monopolisé la prise de parole pour des fins politiques.

l’étincelle qui a mis le feu aux poudres.


Mais tout a pris une ampleur incroyable lorsque le candidat des Républicains à la municipalité du Touquet le 18 juin dernier publie une capture d’écran le montrant en compagnie de ses deux colistiers avec un commentaire des pas plus gracieux, posté par un certain « Tonio Chotal » : « Des pigeons… et un connard… ».

Pour Daniel Fasquelle, il ne peut s’agir que d’Antoine choteau et le sonne aussitôt : « Sous un pseudonyme qui ne trompe personne, le gendre du Président de la République m’insulte sur les réseaux sociaux (‘connard’). Pas très élégant. En espérant que LREM se ressaisisse dans le cadre des municipales du Touquet afin que l’on ait un débat digne de notre station ».

De son côté, Antoine choteau confirme avoir être l’auteur et réitère ses hostilités: « Je le dis clairement, je déteste Daniel Fasquelle ». En effet, ce dernier a déposé une plainte contre lui.

Pour les politiques, l’heure est à l’apaisement ; pour le gendre, une guerre est une guerre.


Lors de ce dimanche donc, indique le Figaro, Daniel Fasquelle aurait déclaré devant le couple présidentiel ne vouloir que l’apaisement de Touquet, un avis que le chef de l’Etat et son épouse, quoique mal alaise ont tout de mémé partagé.

Ce qui ne semblerait pas le cas de leur beau fils, Antoine Choteau. En outre, il n’envisagerait pas non plus à présenter ses excuses à l’endroit de celui qui vient juste d’être élu. « Qu’il retire sa plainte ou qu’il la laisse, ça me laisse de marbre », aurait-il clamé au contraire.

Affaire à suivre…puisque sans présenter ses excuses, le maire compte accélérer la procédure et n pas lâcher prise jusqu’à ce les pointes aboutissent à une condamnation.