Dans le cadre de la promotion du film « T’en fais pas, je suis là« , tiré de son vécu personnel, Samuel Le Bihan était l’invité de Laurent Delahousse sur le plateau de 20h30 Le dimanche le 25 octobre dernier. Mais l’acteur s’était retrouvé très vite perturbé face à Nathalie Baye après une question de l’animateur…

En débarquant sur l’antenne de France 2, Samuel Le Bihan n’avait pas dissimulé sa surprise en voyant son ancienne partenaire à l’écran, Nathalie Baye, qui s’entretenait déjà avec Laurent Delahousse sur le plateau de 20h30 Le dimanche depuis plusieurs minutes.

« On a chacun notre vie, nos problèmes… ».


Tout au long de l’émission, Samuel Le Bihan a bien manifesté son « plaisir » de partager le programme avec la maman de Laura Smet.

« C’est magnifique, c’est un souvenir vraiment formidable, au-delà du plaisir de jouer avec Nathalie, c’était très émouvant« , affirmait-il lorsque le présentateur lui avait demandé le souvenir qu’il a gardé durant le tournage du film Vénus Beauté (Institut) réalisé par Tonie Marshall, sorti en 1999. Dans ce long-métrage, Samuel Le Bihan se retrouvait dans la peau d’Antoine DuMont et Nathalie Baye joue le rôle d’Angèle Piana.

Mais pour cette fois-ci, le comédien a fait le déplacement pour évoquer une toute autre histoire, un nouveau film porté à l’écran le lundi 26 octobre dernier, « T’en fais pas, je suis là ». « Ce téléfilm est une façon d’aborder le sujet sous un angle plus léger. Je ne veux pas culpabiliser le public. On a chacun notre vie, nos problèmes« , déclarait-il au micro de la rédaction du magazine Femme Actuelle.

« J’ai décidé que son repère ce serait moi« 


En marge de sa carrière, l’acteur a pris en main l’avenir de sa fille autiste, âgée de 8 ans. « Il se trouve que le juge m’a donné la garde de ma fille. C’était à un moment où je travaillais et voyageais beaucoup. Un enfant autiste, à priori ne doit pas bouger, doit rester au même endroit« , confiait-il par la suite, avant de préciser ouvertement qu’ »Il fallait que je l’emmène. Donc, j’ai décidé que son repère ce serait moi. Il fallait que j’endosse une responsabilité un peu particulière« .