A l’occasion ce 07 avril 2021 de la parution de la biographie sur Christophe, des détails méconnus du public vont y être révélés. Il s’agit plus précisément de ses bouleversantes confessions au sujet du suicide de sa maman. La rédaction de 8buzz revient sur ce souvenir d’enfance très sombre du chanteur préféré des Français.

Un an après sa mort, Christophe continue toujours de faire parler de lui. Une biographie de la célébrité sortira ce 07 avril prochain. L’occasion pour ses fidèles fervents d’en apprendre un peu plus sur le passé du chanteur notamment un des drames de sa vie : le suicide de sa maman.

Un livre qui recèle tout un tas de non-dits sur  Christophe.


Paris Match a tout récemment dévoilé un extrait des récits de Christophe, tiré de « Vivre la nuit, rêver le jour ». Il faut reconnaître qu’il n’a pas eu une enfance facile puisqu’enfant, Christophe a dû faire face à de nombreuses épreuves dont entre autres la séparation de ses parents. « J’étais son alibi pour ses maîtresses », y relatait Christophe lorsqu’il se rappelait des moments passés avec son père.

Son père avait pour habitude de l’emmener « chez Blaise », un café bondé de la rue Damrémont. En réalité, c’est une façon pour son père de détourner l’attention. Lorsqu’arrive le moment où Christophe prenait conscience du jeu de son père, cela lui a été très éprouvant. Pis encore, il lui a fallu faire face à une situation plus terrible encore : le moment où sa maman décide abruptement de mettre fin à ses jours ! C’est un souvenir à la fois douloureux et déchirant que sa mère lui a laissé.

Ce jour où tout a basculé pour Christophe.


Sa maman était, raconte-t-il, une femme à la fois aimante mais également sévère. Elle n’hésitait pas à leur « mettre des gifles » à lui et son frère Gégé lorsqu’ils leur arrivent de faire des sottises.

Avec son frère, Christophe avait retrouvé un jour venu leur mère allongée par terre pendant qu’une odeur de gaz flottait dans les environs. Très vite alarmés, ils ont vite fait appel aux secours. Les secours l’avait alors embarqué sans pour autant prendre la peine de leur expliquer « si elle était morte ou vivante ». Ce qui l’avait le plus marqué.