Jacques Chirac jonglait avec les maîtresses, cette anecdote très croustillante au sujet du feu président de la République.

Bien que Jacques Chirac ait été marié pendant plus de 60 ans à Bernadette Chirac, il a au cours de sa longue carrière politique laissé bien d’autres femmes entrer dans son cœur. « Beaucoup de femmes auraient voulu l’avoir », confiait même Bernadette Chirac à France 2 lors du documentaire Bernadette Chirac, mémoires d’une femme libre.

Et elle avait bien raison ! Malgré le fait qu’il ait choisi de se caser à Bernadette en 1956, Jacques Chirac ne s’est, à aucun moment, défait de son âme de fin séducteur. Et pour preuve : les nombreuses rumeurs de liaisons qui l’ont suivi au fil de toute sa vie. Il a connu de nombreuses femmes mais peu sont celles qui ont une importance significative dans sa vie. Entre toutes ces femmes, Jacqueline Chabridon est de celle qui lui a marqué au fer rouge.

Jacques Chirac, selon les confidences de son chauffeur Jean-Claude Laumond, jonglait avec ses maîtresses. Ce dernier relatait dans les pages du Sexe, mensonge et politique de Pierre Lunel que le feu président de la République était plutôt d’humeur « généreux » avec ses maîtresses et les traitaient de la même manière. C’est son conducteur qui fût d’antan « chargé d’acheter un certain nombre de cadeaux identique, de nombre variable mais toujours supérieur à deux« .

« Un certain nombre de cadeaux identique, de nombre variable mais toujours supérieur à deux« .


Il offrait ainsi le même collier à chacune de ses femmes. Aucun risque de créer de la jalousie entre elles. Si bien que s’il lui arrive d’en oublier l’une d’entre elles, il ne manque pas de demander à l’une de ses connaissances hôtesses de l’air de lui ramener un petit bijou d’une des îles paradisiaques où elles font escale, en vue de rattraper le tir si bien sûr, elles ne l’accompagnent pas lors de ses différents voyages.

Même si ces aventures ne sont pas méconnues, il veille tout de même à vivre ces passions loin des regards indiscrets. Il usait de stratagèmes afin de protéger ses amours particulièrement avec celle qu’il affectionnait le plus : Jacqueline Chabridon. C’est dans un appartement parisien qu’il l’a loué du temps où il était Premier ministre qu’ils se donnaient rendez-vous, dévoile Xavier Panon dans Chirac quelle histoire.

‘ »Une ligne directe relie Matignon à l’appartement du VIIe arrondissement dans lequel le Premier ministre se précipite le soir, ou certains après-midi« , peut-on lire. Paraît-il qu’il avait toujours les mêmes excuses lorsqu’il quittait ses collaborateurs. « Je vais faire une course« , se justifiait-il à chaque fois. C’était en quelque sorte un message codé à son chef de cabinet qui se chargeait par la suite de « tenir la boutique » durant son absence.