Anne-Claire Coudray s’est, lors d’un entretien accordé à TV Grandes Chaînes, confiée sur la culpabilité qui l’accapare étant donné que la journaliste ne peut s’accorder avec sa fille Amalia que des rares moments privilégiés. Cette dernière d’ordinaire très discrète sur sa vie intime a accepté encore une fois de faire une exception.

Lors de son passage, ce début d’année, sur le plateau de Non-Stop People, Anne-Claire Coudray n’a pas manqué d’évoquer ses rapports avec sa fille : « Au début, elle faisait des bisous à la télé, elle allait voir derrière le mur, comme tous les enfants dont les parents passent à la télé j’imagine. Elle n’est pas très impressionnée. Vous redevenez très vite modeste. Elle se rend compte que ses copines me connaissent par un autre biais que les sorties scolaires. Par contre, quand je suis à la maison, elle aime bien que je sois avec, elle ne supporte pas trop quand je suis au téléphone. Le week-end, je suis obligée de lui expliquer que mon patron va me gronder si je ne vais pas travailler… elle a du mal à comprendre« .

Son travail empiète quelque peu sur sa vie privée. Cette dernière officiant à la tête du JT de TF1 les week-ends gère parfois assez difficilement comment combiner à la fois sa vie professionnelle et son rôle de mère. Malgré tout, elles ne sont pas moins complices l’une de l’autre.

Anne-Claire Coudray confie partager énormément de sujet avec sa fille âgée actuellement de cinq ans entre autres la crise sanitaire qui sévit actuellement. Et la petite Amalia d’avoir déjà une idée bien ferme là-dessus : ” Ce fichu coronavirus, j’espère qu’il sera terminé quand j’aurai 6 ans “.

 » Les débuts de semaine sont un moment de reconquête, où je dois refaire ma place « .


La maman de 43 ans reconnaît, souventes fois, souffrir de cette situation jusqu’à ressentir des sentiments de culpabilité. ” Je dois culpabiliser un peu de la laisser le week-end » et de s’adonner complètement à sa famille lorsqu’elle est présente à la maison : « alors je fais une vraie rupture avec le travail “.

Dans la foulée, le soutien sans faille de son mari lui est d’un immense réconfort : ”C’est vrai, c’est le papa qui s’en occupe. Les débuts de semaine sont un moment de reconquête, où je dois refaire ma place. Mais je me rattrape, quand je suis avec elle, j’y suis à 100 % “.