Gravement complexée par son corps depuis son adolescence, à l’âge de 12 ans plus précisément, Amel Bent livre un poignant message à toutes les femmes…
En marge de la publication d’une nouvelle édition d’Appollo Magazine où elle avait enfin accepté de réaliser son « 1er shooting 100% mode ever« , la célèbre chanteuse, Amel Bent, s’est confiée, via son fil Instagram, sur « Toutes ces années de mal-être…« . Une très longue période où elle a eu du mal à accepter son corps.
« Ça signifie peut être pas grand chose, mais pour moi ça résonne très fort dans mon cœur, j’en ai les larmes aux yeux« , débutait la compagne de Patrick Antonelli avec beaucoup d’émotion.
En effet, précisait la chanteuse par la suite, « Je repense à toutes ces années de mal-être, de crises de larmes dans les cabines d’essayage , les « sale grosse » dans la cours de récrée , les journées de plage ou piscine emmitouflée dans ma serviette a l’écart pour que personne ne me voit en maillot de bain ».
Sans chercher à se voiler la face, Amel Bent était allée jusqu’à confesser à ses abonnés que durant toutes ces années, « oui je détestais chaque parcelle de mon corps et j’en voulais au monde de me renvoyer cette image déformée de moi, complice de cette violence en ne prônant qu’une idée bien définie de la beauté ! »
« Ce n’est pas vous le problème, c’est ce monde qui ne voit pas votre beauté ».
Aujourd’hui, la maman de Sofia, 4 ans et Hana, 3 ans, très fière de sa nouvelle silhouette parle d’emblée d’une revanche pour ses « 35 ans, 1m64 et 62 kg » après avoir bataillé « en silence depuis plus de 20 ans ».
Bref , le shooting pour Apollo Magazine lui offre une opportunité immense de s’afficher sous « un autre visage, une autre morphologie, pour représenter une autre idée de la beauté et de la mode« .
Vers la fin, la célèbre interprète de Ma philosophie s’est adressée particulièrement à toutes celles qui sont entrain de revivre son calvaire. « J’écris ce message pour toutes les jeunes filles qui ne se sentent pas assez belles pour ce monde …», poursuivait-elle, avant de conclure : « ce n’est pas vous le problème, c’est ce monde qui ne voit pas votre beauté, du moins pas encore !«