En direct de son JT de 13H, Jean-Pierre Pernaut a, pour une énième fois, poussé ses légendaires coups de gueules contre le gouvernement. Comme à l’accoutumée, l’emblématique journaliste de la première chaîne dénonce une nouvelle fois les nombreuses incohérences dans leur gestion de la crise sanitaire.

C’est un rendez-vous qui était très attendu des Français : ce mercredi 14 octobre, Emmanuel Macron a répondu aux questions du duo Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau.

Retour des attestations de sorties.


Au cours de l’interview en question, le président de la République a fait plusieurs grandes annonces dont la mise en place du couvre-feu fixé entre 21 heures et 6 heures dans toute l’Ile-de-France, ainsi qu’à Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Saint-Etienne, Lille, Lyon, et Toulouse – et qui prendra effet à compter du samedi 17 octobre, à minuit établie pour une durée d’au moins quatre semaines compte tenu de la gravité de la crise sanitaire.

Emmanuel Macron a indiqué qu’il s’agirait là d’une durée minimum, et qu’il était plus probable que la mesure s’étende jusqu’au 1er décembre. Toutefois, une dérogation permettra à certains de sortir au-delà de 21h. Il y aura ainsi le retour des attestations de sorties. Le télétravail, lui, ne sera pas généralisé puisque le gouvernement ne souhaite pas « ré-isoler » la population.

Quel est vraiment l’intérêt de restaurer ce couvre-feu?


Une interview qui bien sûr fût largement commentée dans toute la sphère médiatique et Jean-Pierre Pernaut a, comme à son habitude, eu son mot à dire. En direct de son JT de 13H du jour, l’emblématique journaliste a, une fois encore, dénoncé la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement. Il a mis en avant l’incohérence des décisions gouvernementales.

Après avoir souligné que ce “ couvre-feu serait une catastrophe pour le monde du spectacle“ qui commence à peine à se relever, Jean-Pierre Pernaut n’a pas pu ne pas se demander l’intérêt d’un couvre-feu dans cette prévention : « pourquoi un couvre-feu alors que pour des raisons économiques, on continue tous les matins et tous les soirs à s’entasser dans le métro ?“,s’étonnait le mari de Nathalie Marquay.