Le Covid-19 ne fait aucune distinction et ce jusqu’à la famille royale. Depuis la crise sanitaire, les comptes royaux virent au rouge. Elisabeth II est, à l’heure actuelle, contrainte de se serrer la ceinture. La monarque a un énorme trou financier de plusieurs millions d’euros à combler. Cela en pâtira-t-elle chez le contribuable ?
Comme à l’accoutumée, les dépenses de la famille royale sont passées au peigne fin jusqu’au dernier centime. Celles de l’année 2019 viennent d’être dévoilées. Les Anglais sauront donc à quoi ont vraiment servi leurs impôts ?
Le Covid-19 a eu raison des comptes de la famille royale.
Et comme personne ne s’attendait à la survenue de l’avènement Coronavirus, il en résulte que les comptes de la reine Elisabeth II passent au rouge. La raison ? Les dépenses colossales afférents aux train-train de vie de chacun des membres de la Couronne. Le tout revenait en moyenne à 90 millions d’euros, ce qui coûte l’équivalent de 1,34 euros par citoyen anglais.
Détails des dépenses de la famille royale.
La facture la plus coûteuse revient aux Sussex notamment leur séjour en Afrique au courant de l’année 2019. Les 10 jours qu’ils y ont passés valent jusqu’à plus de 275 000 euros au contribuable britannique.
Kate Middleton et le prince William, quant à eux, ont coûté 130 000 euros suite à leur voyage au Pakistan.
Le fils cadet de la souveraine, le prince Andrew a, de son côté, mobilisé 17 000 euros et ce rien que pour assister à un tournoi de golf. Ce dernier qui s’est tenu en Irlande du Nord.
Cette année s’avère très dur puisqu’avec la survenue de la pandémie à Covid-19, le tourisme se retrouve paralysé et cela coûte énormément à la Couronne au point que les faramineuses dépenses liées au déplacement de la famille royale ont bien du mal à être couvert cette année. Conséquence : un gros trou financier de plus de 35 000 000 d’euros comme indiqué dans les colonnes du Mirror.
Malgré ce déficit, Elisabeth II a fait savoir par l’intermédiaire de son trésorier, Michael Stevens, qu’elle n’envisage pas d’augmenter les impôts des Britanniques. Afin de pallier ce gros trou, elle compte serrer la ceinture du côté de leur train-train de vie. Fini les petits voyages ici et là ou tout autres faramineuses caprices que ce soit…