Il y aurait une taupe à l’Elysée qui se met à faire fuiter des infos confidentielles et Emmanuel Macron est à un point excédé qu’il a décidé de tout mettre en œuvre afin de démasquer la taupe en question. Des moyens radicaux sont entrepris pour le traquer.
Le président de la République est plus furax que jamais ! Il y aurait une taupe qui mène la vie dure au locataire de l’Elysée. Ayant réussi à faire sortir Emmanuel Macron de ses gonds, cela ne peut plus continuer au point que le chef de l’Etat met, à l’heure actuelle, tout en œuvre afin de retrouver l’individu qui transmet ces informations confidentielles à la presse.
La taupe est de retour !
Celui qui avait, d’antan, fait fuité les coûts du maquillage du chef de l’Etat (qui est de 26000€ le trimestre) vient, une fois de plus, de frapper. Pour cette fois, il avait révélé d’avance que Christophe Castaner serait prochainement à la tête du mouvement En Marche.
En effet, cette décision en question a été actée au cours d’un diner à l’Elysée ayant eu lieu le 23 octobre dernier et elle ne devrait être annoncée officiellement que le 18 novembre prochain à Lyon comme il a été prévu…Et pourtant la presse, elle, a déjà été mise au courant. Qui est donc la taupe ?
“Ils étaient une dizaine autour du chef de l’Etat, fidèles de la première heure : les ministres Gérard Collomb, Julien Denormandie, Benjamin Griveaux et Christophe Castaner, ainsi que Richard Ferrand ou Alexis Kohler”, peut-on lire dans les colonnes du Parisien.
Le magazine Closer a, après analyse, constaté qu’une journaliste travaillant pour le compte des Echos a, de manière régulière, toujours été au courant de toutes les informations gravitant autour d’Emmanuel Macron et ce, même suite aux rendez-vous organisés en catimini.
Comme indiqué par une source proche : « Ils sont furieux, ils cherchent qui a parlé, souffle un macroniste« . Et on peut dire qu’excédé comme il est, des moyens radicaux seront mis en œuvre pour démasquer la taupe en question.
Et le confident de poursuivre : »Gérard Collomb va demander les relevés téléphoniques » après demande d’Emmanuel Macron.