Après qu’il ait été ridiculisé par Benjamin Castaldi et Jean-Michel Maire, René Malleville n’a pas manqué de leur faire part de sa frustration et son mécontentement. A cet effet, le chroniqueur de 73 ans a alors décidé de jouer franc-jeu en direct de TPMP, avant de fondre en larmes.

« J’ai beaucoup discuté avec ma famille. Avec ma femme on a discuté jusqu’à 2 heures du matin, qui pleurait comme une madeleine. Ça fait 53 ans que je suis marié à une femme adorable. »

Et le grand fan de Didier Raoult très bouleversé par cette histoire de poursuivre : « C’est la reine de mon essaim familial. La voir pleurer comme ça, j’ai pas supporté ».

René Malleville de prendre sa revanche en allant jusqu’à traiter Benjamin Castaldi et Jean-Michel Maire d' »abrutis » avant de s’adresser personnellement au mari d’Aurore Aleman : »Tu parles, toi là ! Tu rigoles toujours, pour n’importe quel sujet ! Je t’ai parlé de ma tante qui s’est tuée en tombant dans la montagne, tu te cassais le ventre ! »

Des accusations qui ont eu le don de quelque peu l’offusquer au point que l’ex-présentateur de Secret Story s’est décidé, lui aussi, de mettre les pendules à l’heure : « Pas du tout, c’est l’histoire et la façon dont tu l’a racontée avec ses personnages… Evidemment, c’est tragique. Mais c’est drôle ce que tu fais, ça m’a fait rire mais tout le monde riait, René ! ».

Et les deux chroniqueurs de lui présenter leurs excuses tout en précisant qu’ils ne cherchaient en rien à l’accabler. Cette réaction allait de soi pour le simple fait parce qu’ils forment une grande famille autour de la table. Et pour ce, ils adorent se payer la tête de l’un ou l’autre d’entre eux. Ils ne cherchaient aucunement à le viser personnellement.

« Je m’en vais de cette émission avec beaucoup de regrets« 


Des excuses qui n’ont pas eu l’effet escompté puisque c’était sans compter la décision de René Malleville de quitter le talk-show : « J’ai décidé de rester calme, de ne pas insulter, de rester digne et de faire honneur aux Marseillais (…) Je m’en vais de cette émission avec beaucoup de regrets« , avant de conclure : « Il y en a beaucoup qui vont me manquer, je ne vais pas les citer un par un... ».