De passage ce mercredi 18 novembre sur le plateau de Quotidien, Sophie Davant fondait en larmes en se confiant sur la mort de sa maman, des révélations touchantes !

Sophie Davant est celle qui régale les amateurs de chineries toutes les fins d’après-midi sur France 2 avec Affaire conclue, son émission à succès.

Sophie Davant sort son propre magazine !


Face à Yann Barthès ce 18 novembre, l’animatrice de 57 ans en a profité pour présenter le premier numéro de son propre magazine « S », destiné aux femmes de 50 ans et plus et dont elle en est la directrice éditoriale.

« C’est un joli cadeau qui vient couronner plus de trente ans de carrière. J’ai eu envie de m’investir dans une expérience différente et je suis contente de renouer avec ma passion première, le journalisme« , déclarait-elle.

Et son hôte de vouloir recueillir ses sentiments sur un de ses clichés d’enfance pris aux côtés de sa mère. Une séquence qui n’a pas manqué d’émouvoir Sophie Davant et particulièrement ce 18 novembre puisque c’est un 17 novembre qu’elle ait perdu sa maman. Cette dernière qui, dit-elle, a été enterrée le 19.

Leur relation était loin d’être aux beaux fixes.


Et la Bordelaise, tout en regardant la photo, de se rappeler : « On est donc entre les deux… Donc ce n’est pas rien. Ma mère était quelqu’un que j’admirais beaucoup, magnifique. Une sorte de Kim Novak, grande et blonde. Pulpeuse, rien à voir avec moi physiquement (…) J’avais une sacrée personnalité, on s’engueulait souvent (…) J’avais besoin de m’opposer pour me construire (…) Donc je me suis toujours demandée si nos deux personnalités auraient pu cohabiter à long terme. C’est une réflexion douloureuse. Je l’ai perdue à 20 ans« .

Et Sophie Davant, après avoir abordé son combat féministe prônant l’égalité entre les Femmes et les Hommes, d’évoquer sa relation avec ses deux enfants, Valentine et Nicolas Sled : « Je leur demande leur avis. Je suis très attentive à ça. J’ai un fils et une fille et ils ont un avis tranché. Quand ça ne leur plait pas ils le disent et quand ils sont fiers ils le disent aussi. »

Malgré leur complicité, elle avoue tout de même avoir été soulagée de les voir quitter le cocon familial.

« Je les adore et j’adore être avec eux et on a de très bons rapports mais la cohabitation avec des adultes devient compliquée (…) Honnêtement j’habitais plus chez eux, que je n’habitais chez moi. Donc à un moment ça va bien, ras-le-bol de retrouver les canapés défoncés et l’appartement sans dessus-dessous ou avoir des plaintes des voisins car vous n’étiez pas là le week-end et ils ont fait la fête le samedi soir. A un moment, on n’en peut plus« , dévoilait-elle l’air amusée et avec la franchise qu’on la connaît.