Hélène Ségara vient d’exprimer son inquiétude à travers un très long texte via son compte Instagram…

« Je ne peux pas me taire... » disait la chanteuse. Cette dernière d’origine arménienne ne peut rester silencieuse face à la catastrophique guerre qui oppose la « terre de ses ancêtres » et l’Azerbaïdjan…Ce samedi 03 octobre, cela fait actuellement 7 jours que les violents combats entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan ont éclaté. Une guerre sans pareille à l’issue de quoi il y aura certainement de nouvelles pertes humaines à déplorer.

Raison pour laquelle, submergée par cette situation, le juré de la France a un incroyable talent d’origine arménienne par sa maman, n’a pas pu rester dans le silence devant la « terre de ses ancêtres » mêlées dans de telles massacres. Hélène Ségara s’est donc emparée de son fil Instagram pour exprimer sa douleur.

Je ne peux me taire quand il s’agit de la terre de mes ancêtres…


« Voilà des jours que j’ai posté sur mon Facebook officiel et dans mes stories ce que l’Arménie vit dans un silence assourdissant. Ma Famille et tant d’autres ont subi le génocide autrefois pendant que le monde fermait les yeux…« , commençait-elle par relater à travers son long texte.

Et la chanteuse de continuer : « Je chante pour la paix, je ne fais pas de Politique, j’ouvre mes bras à chaque être humain quelque soient ses origines mais je ne peux me taire quand il s’agit de la terre de mes ancêtres… Quand les hommes cesseront ils de reproduire le passé… ? S’il vous plaît… »

Et Hélène Ségara de mettre en fin de sa publication le hashtag « plus jamais« . Une publication qui a eu le don d’engendrer bon nombre de réactions sur les réseaux sociaux. Un post qui, dans la foulée, n’a pas réussi à convaincre certaines têtes comme visiblement le cas de l’une de ses followers qui a laissé en commentaires : « Depuis presque 30 ans, l’Arménie occupe militairement des territoires de l’Azerbaïdjan, le Haut-Karabakh et sept provinces attenantes, en totale violation du droit international et de nombreuses résolutions votées par les Nations unies« .