Lors d’un numéro inédit de TPMP de ce lundi 19 octobre, Benjamin Castaldi avait fait part de son inquiétude pour son père qui, actuellement, est en train de vivre une période pour le moins compliqué…
Un tour de vis inédit dans la lutte contre la propagation du Covid-19 en France a été décidé et annoncé par Emmanuel Macron lors de son allocution du mercredi 14 octobre dernier. Lors de son interview accordée au duo Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau, a énuméré les nouvelles mesures restrictives, venant confirmer la gravité de la situation sanitaire du pays.
Un débat houleux sur le couvre-feu !
De ce fait, il a été décidé qu’un couvre-feu sera de nouveau instauré de 21 heures à 6 heures dans toute l’Ile-de-France, ainsi qu’à Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Saint-Etienne, Lille, Lyon, et Toulouse – et qui prendra effet à compter du samedi 17 octobre, à minuit établie pour une durée d’au moins quatre semaines. Une attestation dérogatoire sera obligatoire pour les déplacements dans cette tranche horaire, à l’image de ce qui était en place lors du confinement. Des contrôles seront effectués par les forces de l’ordre.
C’est sur le couvre-feu en question que débattait la bande à Cyril Hanouna ce lundi 19 octobre. N’étant pas d’accord sur les propos soutenus par Raymond Aabou qui mettait « l’ouvrier en face de l’artiste », Benjamin Castaldi, pour défendre sa cause, et celle de son père comédien (Jean-Pierre Castaldi, acteur de théâtre, NDLR) lui a fait savoir qu’il n’y avait pas d’exception entre ces deux catégories là : « C’est toujours facile de dire ‘ah les artistes’, mais quand on a besoin d’eux, on les appelle. Tu parles de tous ceux qui bossent, mais je te jure que les artistes, ils sont comme les autres, qui n’ont plus de boulot, la situation est dramatique« .
En témoigne, selon lui, son père qui, aujourd’hui, se trouve dans un état de « dépression totale« . « Et ce n’est pas le seul » poursuivait l’ex de Flavie Flament. L’occasion pour le père de quatre enfants de souligner que beaucoup d’autres professions se trouvent également concernés et se retrouvent également pénaliser. Et le chroniqueur de mentionner : « il y a les maquilleuses, il y a les coiffeurs, les décorateurs, il y a tous ceux qui bossent autour du cinéma. Ils sont en train de crever« .
Et Benjamin Castaldi de rajouter : bien que de « l’argent ait été débloqué« , il assure que pour « certains cas (…) tout n’a pas été fait. La situation c’est même pas qu’elle est dramatique, il y en a qui vont crever, mais au sens propre« , a-t-il fini par assurer.