A la tête d’un nouveau numéro des 12 Coups de midi, ce 22 novembre, Jean-Luc Reichmann a été quelque peu choqué lorsqu’il a appris ce détail particulier au sujet de Jean-Pierre Pernaut.

Jean-Luc Reichmann a toujours été connu pour sa franchise et s’il a un lien aussi fort avec son public c’est en partie grâce à ce trait de caractère. En témoigne le jeudi 12 novembre dernier lorsqu’il a sèchement recadré tous ceux qui prenaient le malin plaisir de malmener son Maître de midi. Ce dernier qui malgré son parcours presque parfait, fait systématiquement l’objet d’une violente critique sur la Toile.

« Je me permets de vous applaudir Léo, merci à vous encore d’être là », débutait-il, avant de bien préciser pour ne pas décourager le jeune homme « que ce n’est pas facile d’être Maître de midi (…) parce qu’on est critiqué ».

« Tous les Maîtres de midi ont été critiqués. Je le dis bien, Éric, avant vous il y avait Caroline » , réitérait-il.

Par ailleurs, il s’est adressé particulièrement aux détracteurs de Léo en leur proposant un défi majeur.
« AVIS à Tous ceux qui critiquent LÉO ‼️… ceux qui ne vous aiment pas…», débutait-il pour attirer l’attention. « J’invite tous ceux qui critiquent à venir participer aux #12coupsdemidi 👍 Je vous attends avec grand plaisir, ne restez pas derrière vos écrans, surtout n’hésitez pas 😜 @tf1 🇫🇷 », terminait-il.

Ce qui a certainement énormément touché celui qui est en passe de se faire une place de choix parmi les plus grands Maîtres de midi.

« Mon Jean-Pierre, ce n’est pas vrai ! »


C’est avec cette même spontanéité que le compagnon de Nathalie Lecoultre a réagi à une question portant sur le club des 10-15 dans Les visiteurs du mercredi diffusé à compter de l’année 1975. Une question qui concernait surtout son animateur d’antan.

Quelle ne fût pas la surprise de Jean-Luc Reichmann lorsqu’il a découvert qu’il s’agissait ni plus ni moins de « son » Jean-Pierre Pernaut. « Je ne le crois pas ! Je ne le crois pas ! Ce n’est pas possible ! « , a-t-il juste trouvé à dire encore sous le choc ! Et de conclure : « Mon Jean-Pierre, ce n’est pas vrai ! »