Convié sur les ondes de RTL ce 24 octobre, Michel Boujenah est revenu sur sa folle nuit d’ivresse aux côtés de Jean-Paul Belmondo. Une soirée des plus surprenantes et pour le moins très mouvementée !

Ce samedi 24 octobre, Michel Boujenah était de passage sur les ondes de RTL au micro d’Éric Dussart et de Jade. Le comédien qui, aujourd’hui, est à l’affiche de L’Avare, est venue faire la promotion de la célèbre pièce de Molière, au Théâtre des Nouveautés à Paris. Il en a profité pour raconter sa folle nuit d’ivresse avec Jean-Paul Belmondo. Il s’en rappelle encore comme si c’était hier bien que cette histoire datait de loin…trente-cinq ans en arrière.

« Ça a fini à 7 heures du matin, en caleçon » !


Michel Boujenah était, à l’époque, de passage à Montréal pour son spectacle et Jean-Paul Belmondo, quant à lui, y était pour tourner Hold-up, la comédie policière d’Alexandre Arcady. Ils se sont effectivement rencontrés grâce au metteur-en-scène, un ami en commun.

« Il me repère entre deux prises, il me dit ‘Viens, toi’. Je dis ‘Oui, monsieur’. Il me dit ’14 juillet, on a fini de tourner. Toi tu as fini de jouer, je suis au courant. 14 juillet on fait la fête entre français à Montréal », se rappelait l’humoriste.

Et celui-ci de poursuivre son récit : « Ça a fini à 7 heures du matin, en caleçon. Belmondo m’a déposé sur le comptoir de l’hôtel en disant au réceptionniste ‘Le petit n’est pas frais, il faut le monter dans sa chambre’« . Jean-Paul Belmondo qui, raconte Michel Boujenah, « a compris qu[il ne tenait] pas l’alcool » en a profité pour lui jouer un petit tour en lui bourrant la gueule « au vin rouge » puis le « [finir] au schnaps à 5 ou 6 heures du matin dans une taverne alsacienne à Montréal« .

Michel Boujenah se faisait avoir une énième fois !


Une soirée pour le moins mouvementée puisqu’une fois arrivé devant la porte de l’établissement, Jean-Paul Belmondo n’a point hésité « à défoncer pratiquement à coups de poing pour qu’on [leur] ouvre. Le propriétaire est sorti en robe de chambre. »

Une belle amitié qui perdure jusqu’à l’heure où l’on parle. Cet été dernier, Jean-Paul Belmondo n’a pas manqué de lui jouer une autre de ses tours. « Au moment de partir j’ai cherché mon téléphone pendant une demi-heure, il me l’avait planqué ! », relate Michel Boujenah qui se faisait encore avoir pour la énième fois !