Près de trois longues années après sa disparition, les hommages tout comme les révélations gênantes autour du mode de vie de Johnny Hallyday se succèdent jour après jour. Il y a quelques jours encore, deux de ses anciens gardes du corps ont fait une confidence expliquant pourquoi le défunt chanteur énervait ses voisins.
En effet, selon les propos recueillis par Laurent Lavige dans son ouvrage intitulé « Johnny Hallyday, ses anges gardiens, la vérité enfin dévoilée », qui va paraître aux éditions Casa le vendredi 6 novembre prochain, deux anciens gardes du corps du Taulier, Sacha Rhoul et Jean Basselin , ont accepté de livrer un témoignage sur une de ses facettes, encore méconnue du grand public.
Les deux hommes ont travaillé pour le défunt mari de Laeticia Hallyday pour le poste de garde du corps durant une quinzaine d’années. Ils rapportent donc que lorsque l’artiste avait une idée en tête, il y allait, systématiquement. L’abandon ne semblait pas appartenir à son vocabulaire.
Ce qui provoquait dans la plupart des cas l’agacement des voisins, plus particulièrement durant la période où le père de David Hallyday, Laura Smet, Jade et Joy vivait à la somptueuse villa Molitor, situé dans le 16e arrondissement de la capitale parisienne.
Cet acharnement sans fin du Taulier !
« Il y avait une énorme grille en fer forgé qui normalement fermait cette voie privée. Johnny avait demandé à motoriser ce portail pour ne pas qu’il y ait trop de fans qui stagnent devant chez lui », avait confié Jean Basselin le vendredi 23 octobre dernier sur le plateau du programme de Sidonie Bonnec à l’antenne de France Bleu.
En fait malgré l’opposition des résidents, cela n’aurait pas empêché l’artiste de mener son projet jusqu’au bout en distribuant des télécommandes aux principaux concernés.
Il se trouvait en fait que certains propriétaires de la Villa Molitor ont fait le choix de mettre une barrière, comme sur une autoroute. Et cette dernière n’avait pas fait long feu devant l’acharnement du rockeur. « Johnny a décidé que ça ne lui plaisait pas et qu’il ne mettrait pas la carte dedans pour rentrer, et qu’il passerait à travers la barrière », assurait l’un de ses deux gardes du corps. A un certain moment donné, poursuivait-il, une « quinzaine de barrières s’empilaient à l’entrée de la villa ». Toutes au frais de Johnny Hallyday.