C’est ce 23 octobre que les fidèles fervents de Johnny Hallyday retrouveront son nouveau disque posthume baptisé Son rêve américain. Un album qui aurait pu, aujourd’hui, ne pas exister à cause d’un des caprices du mythique rockeur.

Le lundi 14 septembre dernier, Laeticia Hallyday a fait une annonce officielle, via son fil Instagram, qu’un nouveau disque posthume de son regretté mari allait sortir ce 23 octobre. En apprenant la bonne nouvelle, les admirateurs de Johnny Hallyday furent aux anges. Qui plus est, ses fidèles fervents célèbreront prochainement la troisième année de sa disparition.

« Un travail considérable qui reflète la mémoire de mon homme et son amour inconditionnel pour l’Amérique, sa source d’inspiration. »


« Je suis si fière et si heureuse de vous présenter les ultimes aventures américaines de Johnny. Son dernier road trip avec ses frères, un concert inédit au Beacon Theater de New York », débutait-elle. En effet, c’est « un titre blues jamais encore entendu, une immersion en images de sa tournée américaine et d’autres surprises dans un seul coffret ».

« Un travail considérable qui, selon Laeticia Hallyday, reflète la mémoire de mon homme et son amour inconditionnel pour l’Amérique, sa source d’inspiration. »

Selon les informations recueillies par Paris Match, le fameux coffret dont la belle-mère de Laura Smet et David Hallyday parle portera la signature de Warner. Formé par 3 CD et 2 DVD, il va regrouper l’intégralité du concert que Johnny Hallyday avait donné à New York il y a quelques années, en mai 2014 plus précisément. Sans compter le film de son road-trip de 2016, son dernier aux côtés de ses «frères», ses amis «bikers», à l’exemple de Pierre Billon et Maxim Nucci. Bien que cet opus a bien failli ne pas voir le jour. En cause : un caprice de star ! comme révélé par ses compagnons de route dans les colonnes dans l’édition de ce mercredi 21 septembre du magazine Paris Match.

C’était le 13 septembre de l’année 2016 où juste avant qu’il ne parte pour cette traversée sauvage de l’Ouest américain, Johnny Hallyday a piqué une grosse crise.

« Je veux une noire » !


Le Taulier a débarqué la veille à La Nouvelle-Orléans et était « comme un gamin énervé qui n’a qu’une envie : démarrer » raconte Pierre Billon. Prêt à prendre la route avec sa bande, le passionné de moto découvre les bécanes livrées devant l’hôtel par la marque Indian. Mais ce voyage tant attendu a bien failli ne pas avoir lieu avant même qu’il ne démarre lorsque le père de David Hallyday découvre qu’on lui ait attribué une moto rouge. Le convoi compte également une moto blanche mais le reste des engins est noir.

Johnny Hallyday voit alors rouge. « Je veux une noire » exigeait-il. « J’ai pris la rouge » confie aujourd’hui François Goetghebeur, le réalisateur accompagnant la troupe. Et celui-ci de rajouter: « Mais, seul hic, les sacoches de Johnny étaient rouges également. Il a fallu les peindre en noir en catastrophe. Sinon il ne partait pas« . L’odyssée à moto devrait-en effet-mener la joyeuse bande composée de Maxim Nucci, Pierre Billon et de son manager Sébastien Farran– de La Nouvelle-Orléans à Los Angeles.