Dans une interview accordée au magazine Paris Match, Hugues Aufray racontait que Johnny Hallyday avait été super jaloux de lui auparavant…

Ils étaient voisins durant plusieurs années et ont fini par tisser des forts liens d’amitié. Lors de son entrevue avec le Point, Hugues Aufray révéla qu’à l’époque Johnny Hallyday passait souventes fois chez lui.

« … il avait, je crois, de l’admiration pour la vie d’artiste que je menais ».


« Quand il a appris où se trouvait ma maison à Marnes, un soir, alors qu’il faisait nuit noire, ma fille me prévient que quelqu’un crie derrière la grille, ‘Hugues, c’est Johnny’!(…) Il menait vraiment une vie de star, mais il avait, je crois, de l’admiration pour la vie d’artiste que je menais, en famille et en dehors des médias. »

Johnny était jaloux d’Hugues Aufray.


L’interprète de Santiano affirmait donc, qu’au-delà, de leurs très longues amitiés, Johnny Hallyday lui enviait énormément. C’est, en effet, un peu grâce à la photo de Salut les copains, montée de toute pièce par Jean-Marie Périer l’année 1966 que le chanteur racontait les débuts de son amitié avec le rockeur :

« Oh, ce jour-là, je me sens mal… Périer dispose les gens et me met à côté de Johnny. Je le connaissais depuis Juan-les-Pins en 1960. Débutait-il, avant de continuer : Pendant sa répétition, il avait cassé une corde de guitare, j’avais filé dans ma chambre pour lui en donner une. Cela avait scellé le début d’une amitié, pas facile, parce que Johnny est très jaloux de moi au départ. C’est invraisemblable, mais c’est comme ça. Bref. Pour la photo de Salut les copains, Périer demande une échelle pour mettre Johnny plus haut. Et je me retrouve au fond, on me voit à peine. Bon… ».S’était-il souvenu.

Une amitié différente !


Des amis, le Taulier, en avait, Eddy Mitchell, Jacques Dutronc… Certes ! Mais avec Hugues Aufray, ce n’était pas pareil. Et en outre, il aurait été le seul à être passé le voir à la caserne d’Offenbourg, en Allemagne du temps où il effectuait son service militaire.

« Il avait avec moi des relations différentes qu’avec ses copains. Affirma-t-il. J’étais un cas, je ne faisais pas partie de la bande, je ne participais pas aux fêtes, je ne buvais pas d’alcool. Tandis que Johnny aimait terminer la nuit avec ses copains, faire la fête. Moi, j’avais 33 ans quand il avait 20 ans. Je n’étais pas de la même génération. » Conclut-il au Point.