Cette grosse gaffe de Laurent Ruquier face à Maïwenn dans On est presque en direct !

Pour ce samedi 24 octobre, avant l’entrée en scène de Laura Laune, survenue vers la fin du programme, Dave, en compagnie d’Anne Roumanoff, Maïwenn, Daniel Russo ou encore le chanteur Lartiste ont marqué cette nouvelle édition d’On est presque en direct.

ADN ovationné par le public !


Maïwenn était expressément venue pour faire la promotion d’ADN, son dernier long métrage. Après la mort de son grand-père, Neige (Maïwenn) submergée par une profonde crise identitaire a donc décidé d’explorer son héritage et ses racines algériennes. Elle voulait, en effet, comprendre et connaître son ADN. Sélectionné à Cannes mais projeté en avant-première mondiale vendredi soir au festival du cinéma américain de Deauville, ADN, attendu en salles le 28 octobre, a été ovationné par le public.

Inévitablement, Laurent Ruquier s’est intéressé aux origines algériennes de la réalisatrice et également de son prénom. En revenant sur la question des tests ADN dont notamment fait objet le long-métrage, Laurent Ruquier ne manquait pas d’interroger la réalisatrice si elle l’avait réellement fait. « Je l’ai fait en vrai, j’ai même mis le test dans le film », indiquait-elle.

Laurent Ruquier recadré à deux reprises !


Et l’animateur de vouloir entrer dans les détails : « Vous êtes même à 35%… » commençait-il à révéler, avant que Maïwenn ne l’interrompt : « Mais on va pas, il faut pas trop dire… parce que c’est dans le film ! ». Laurent Ruquier s’est alors engagé dans une autre question portant cette fois sur les origines de son prénom : « C’est breton, Maïwenn ?». Et Maïwenn, sans grande conviction, de lui répondre par l’affirmative tout en révélant qu’elle « aurait bien aimé porter un nom algérien ».

Et celui qui s’est réconcilié avec Cyril Hanouna de poursuivre : « Voilà pourquoi à la fin du film, le générique est en français mais aussi… ». Visiblement difficile à corriger, la mère de Shanna et Diego a été obligée de le recadrer encore une seconde fois et cette fois avec un ton plus sec : « Mais vous êtes en train de tout dire, là ! Non il faut pas le dire Non c’est le générique de fin, il faut pas le dire ».

Et son interlocuteur quelque peu gêné de la situation d’essayer de se justifier : « C’est que le générique, on dévoile rien quand c’est le générique (…) Vous savez c’est bien de le dire parce que parfois les gens s’en vont et ne voient pas le générique ». Ce qui n’a pas manqué de l’agacer encore plus : « Bon bah restez jusqu’au générique de fin ! ». Se rendant compte d’avoir été un peu trop dur, elle s’était vite rattrapée : « Vous en parlez bien (du film, ndlr) mais du coup j’ai pas dit grand-chose ».

Et Laurent Ruquier  de conclure :“Vous êtes douée pour vendre votre film…”, avant qu’il ne passe à autre chose.