Amélie Mauresmo était l’invitée de Laurent Ruquier le samedi 3 octobre dernier dans son nouveau programme On est en direct, en diffusion sur l’antenne de la deuxième chaîne. Et l’animateur n’a pas manqué d’aborder le sujet très sensible et qui intéresse bon nombre de téléspectateurs, la poitrine de l’ancienne sportive de haut-niveau.

Après 14 années passées aux manettes d’On n’est pas couché (septembre 2006 à juillet 2020), l’anchorman de France 2, Laurent Ruquier, anime désormais On est en direct. Au micro de la rédaction du Parisien, l’animateur d’expliquer : « Notre envie est de remettre de l’humour, les gens ont besoin de rire, on veut de la légèreté et de la bienveillance, ce ne sera pas le tribunal comme ça a pu l’être. »

Comparés sans cesse aux formats proposés par Frederic Taddeï ou de Thierry Ardisson, le présentateur a tiré les choses au clair. « Non, mon émission n’a rien à voir avec celle de Thierry ni avec son ambiance ‘night-clubbing’ », affirmait-il sans ambages.

«Mais ça n’a jamais été un problème pour vous !»


Pour ce samedi 3 octobre, le compagnon de Benoît Petitjean a voulu savoir le profond sentiment du tenniswoman Amélie Mauresmo au sujet de la dernière Une du magazine l’Equipe.

« Alors ce n’est pas le sujet que je connais le mieux, je vous le dis tout de suite : les seins, la poitrine féminine ! », affirmait-elle. Pour rappel, le magazine titrait sa une comme suit : « Parfois, on oublie qu’on a des seins ».

« Je n’ai pas lu l’article, mais j’ai été étonnée quand j’ai vu ce titre… », poursuivait-elle. Ainsi, Laurent Ruquier l’avait donc briefé : « Alors ils parlent de « l’exception Serena Williams, l’ancienne numéro 1 mondiale, est l’une des très rares joueuses du circuit à avoir une poitrine généreuse, mais elle a tenu bon sur le court et face au regard d’autrui. » »

Dès la fin de son explication, l’animateur était revenu sur la principale question qui l’intéressait : les seins.« C’est un handicap la poitrine ? », lui demandait-il. « Alors personnellement je n’ai pas ce problème, je n’ai pas eu ce problème dans ma carrière », répondait-elle avec un brin de gêne. Mais l’animateur ne lui a même pas laissé le temps d’aller jusqu’au bout de son raisonnement.

« Il y a tout un dossier ! Je vais vous le donner ! », reprenait-il aussitôt. «Douloureuse, embarrassante, parfois trop volumineuse, encore mal protégée, la poitrine fait partie des facteurs influents directement sur la performance des sportives de haut-niveau », lui déclarait-il, en effet.

« Mais peut-être ! » réagissait l’ex-numéro un mondial. « Il faut un équipement adapté en effet… ». vers la fin, Laurent Ruquier persiste en lui demandant encore : « Mais ça n’a jamais été un problème pour vous ! » « Voilà, on retiendra ça ! », concluait la championne.