Valérie Trierweiler, la nouvelle recrue de la tumultueuse équipe des Grosses Têtes, se fait souvent charrier par ses compères à propos de son passé de première dame furtive. Plus récemment, Laurent Ruquier avait en effet essayé de déstabiliser l’ancienne journaliste de Paris Match en faisant une vanne au sujet de sa rupture avec François Hollande…Mais elle ne se laissait pas faire.

Valérie Trierweiler a fait son début sur le plateau des Grosses Têtes, aux côtés de Laurent Ruquier le 21 septembre dernier. Un événement que la principale intéressée avait célébrer en postant, via son fil mythique pupitre rouge du programme.

« Une nouvelle aventure commence aujourd’hui pour moi avec Les grosses Têtes ! Une émission légendaire où il fait bon rire et s’instruire ! Merci à Laurent Ruquier de me faire confiance et aux autres Grosses Têtes pour leur accueil », écrivait-elle en légende. Et il faut dire que l’accueil a été très chaleureux !

A l’issue de la présentation, Christine Bravo ne s’est pas gênée en lançant : « Je ne connais pas Valérie, je n’ai pas d’a priori, enfin si j’en avais un, mais je ne peux pas supporter votre ex ! » « Lequel ? », lui répondait-elle ironiquement.

Un peu plus loin, à l’instant où Laurent Ruquier avait annoncé l’intervention d’une auditrice prénommée Julie, Valérie Trierweiler, comprenant très vite la règle du jeu sur le plateau s’est interposée en coupant la parole à son patron. « si c’est Julie [qui fait référence à Julie Gayet, Ndlr], je sors », déclarait-elle avec beaucoup d’humour…

« Faire des valises, ça vous connait… ».


Pour ce mardi 20 octobre 2020, c’est Laurent Ruquier lui-même qui avait pris l’initiative de chambrer sa nouvelle recrue. Tout a commencé lorsque le présentateur d’On est en direct avait désigné Valérie Trierweiler pour demander à un auditeur tiré au sort de révéler le contenu de la Valise RTL.

En prenant conscience de son hésitation, la réaction de Laurent Ruquier pour la secouer ne se faisait pas attendre. « Pourtant, faire des valises, ça vous connait [Pour aménager à l’Elysée et pour quitter le palais après sa séparation avec François Hollande, Ndlr] ».

Mais c’était sans compter sur l’habilité de l’ex-première dame de se défendre car aussitôt, elle a envoyé son offensive en déclarant : « ah non, vous ne pouvez pas dire ça… Je suis Valoche… Rappelez-vous ! »