Dans les rares cas où elle accepte d’y revenir, Louane a, à l’occasion de la sortie d’un portrait que lui a consacré Le Figaro, accepté, ce samedi 10 octobre, d’évoquer le sujet très sensible de la mort de ses parents. Ces derniers qu’elle a perdu à seulement 17 ans.

Si aujourd’hui Louane est une femme épanouie et comblée tant dans sa vie de famille que dans sa carrière d’artiste, la vie n’a pas pour autant été tendre avec la chanteuse.

Rappelons-le, avant la diffusion de The Voice en février 2013, la jeune chanteuse de 17 ans a perdu son père Jean-Pierre. Et plus d’un an plus tard, Louane est de nouveau confrontée au deuil avec la mort de sa mère, Isabelle, des suites d’une maladie. Très réservée sur cette période très sombre de sa vie, la jeune chanteuse s’est longtemps refusée de commenter ce double deuil.

« C’est un peu mon mantra ».


La dernière fois c’était en 2018 lorsque Sept à Huit avait consacré à l’interprète de Nos secrets un long reportage pendant lequel elle est revenue sur le souvenir de ce que lui a laissé ses parents.

« Mon père était plein de volonté et ma mère était une bête de travail. Je pense que les deux m’ont énormément nourrie plus jeune. Et ma mère avait cette phrase : ‘Si tu as envie de faire des choses, fais-les. Que tu y arrives ou pas, tu auras au moins la satisfaction d’avoir fait les choses à fond.’ C’est un peu mon mantra ».

« Ils se tuaient à la tâche ».


La maman de la petite Esmée a fait une exception ce samedi 10 octobre. A l’occasion d’un portrait que lui consacre Le Figaro, Louane n’a pas manqué de faire hommage à ses parents décédés. L’on ait appris de ce portrait en question que la compagne de Florent Rossi a des origines allemandes et polonaises du côté de son père et portugaise par sa mère.

Dans ses rares confidences, l’actrice de 23 ans évoque pour la première fois le talent culinaire de son défunt père. « Toutes mes copines voulaient rester. Il cuisinait aussi bien de la carbonade flamande que des kluski, boulettes polonaises et des rissois, croquettes portugaises », se rappelait-elle. Sans compter qu’autant que son papa appréciait se retrouver derrière les fourneaux, avec sa mère, ils étaient des véritables acharnés du travail au sein de leur société de courtier en assurances. Et Louane de confier qu’ « Ils se tuaient à la tâche ».