En marge de son entrevue accordée au magazine « Elle » pour aborder son roman, « Les invasions quotidiennes », sorti en 2014, elle avait effectué une grande confidence au sujet de son couple.

Agée aujourd’hui de 39 ans, Mazarine Pingeot, hormis les difficultés de la vie, aborde avec sérénité ses quarante ans, qu’elle va d’ailleurs célébrer d’ici la fin de l’année en cours.

« Quitter quelqu’un est un sale coup à faire aux enfants.»


Mariée depuis maintenant treize (13) ans avec le réalisateur et producteur français, Mohamed Ulad-Mohand où ils ont eu trois adorables enfants, Astor, Tara et Marie, avant d’être confrontés aux fâcheux problèmes conjugaux qui ont, inévitablement, abouti à une rupture. Leur divorce a été prononcé en 2014.

Il y a peu de temps, elle abordait sa mésaventure amoureuse avec plus de facilité mais surtout sans filtre. Là où d’autres se plaindraient encore sur leur infortune, la femme des lettres est plutôt de la catégorie de celles qui ne se laissent pas faire ; une vraie dame de fer. D’ailleurs, cela pourrait lui servir de trame pour débuter un autre projet d’écriture.

A juste titre, dans « Les invasions quotidiennes », Mazarine Pingeot raconte le quotidien d’une maman célibataire en s’inspirant de son histoire personnelle ainsi que celle de ses proches. Au micro de la rédaction du magazine Elle, la fille cachée de François Mitterrand (qui porte le nom du feu président depuis 2016) se définissait comme «une maman cool».

«Nous sommes assez fusionnels, dit-elle, et nous faisons beaucoup de choses ensemble. J’ai un côté mère-poule, j’adore leur faire des câlins », confiait-elle.
Une fois encore, abordée par l’équipe du magazine people Gala toujours au sujet de son divorce, elle s’était toujours exprimée à travers ses trois enfants.

«Quitter quelqu’un est un sale coup à faire aux enfants. Pour eux, c’est la fin d’un mythe. Ils prennent conscience de la précarité des choses et du temps qui défile. Le plus important, c’est que leurs parents soient heureux. La clarté peut les structurer », déclarait-elle avant de conclure avec des propos pleins d’espérance : «L’espoir de la vraie rencontre peut être un guide. La rencontre transforme. On ne renonce jamais à l’amour.»