Victime d’une forte vague de déferlement de haine, suivie de plusieurs menaces de mort, Laurence Boccolini a livré des confidences CHOCS lors de son passage à l’antenne de RTL sur le plateau d’On refait la télé diffusé le samedi 21 novembre dernier.
En revenant sur cet épisode particulièrement éprouvant, Laurence Boccolini a évoqué surtout ces messages de haine qui l’ont obligé à déserter « certains réseaux sociaux », plus précisément sur Facebook et Twitter.
« Ma vie n’a rien à voir avec parfois ce que je lis… »
« C’est des déferlantes de haine, c’est des menaces de mort sur moi et ma fille », débutait-elle, avant d’ajouter : « il y a des gens ou des émissions sur lesquels on ne peut rien dire… C’est quelque choisi de tabou, vous n’avez plus de liberté d’expression ».
« J’aimais bien Twitter parce que j’ai rencontré plein de gens que je connais », poursuivait-elle, avant de regretter : « mais ça ne l’est plus. Moi si c’est pour moi prendre pour rien des déferlantes de haine donc je n’ai pas envie d’y être et j’ai tout arrêté ».
L’ancienne animatrice du Maillon faible n’arrive pas à admettre pourquoi l’on s’attaque « à tout », à elle mais surtout à son physique. « Il y a la vie que je vis et il y a celle que les autres m’inventent. Ma vie n’a rien à voir avec parfois ce que je lis », confiait la maman de Willow face à Jade et Éric Dussart.
Vers la fin, la présentatrice, âgée actuellement de 57 ans a également évoqué ce moment où elle a été victime de plusieurs usurpations d’identités pour des fins commerciales.
En effet, ce sont des « publicités complètement hallucinantes » que les arnaqueurs associent à l’image de la journaliste pour pouvoir écouler rapidement « des pilules miracle pour maigrir ».
« Il n’y a aucun recours parce que ce sont des boîtes fantôme qui sont sur ne sait pas trop où », racontait-elle, « complètement démunie ».