Miou-Miou et Alexandra Lamy se partagent la couverture du nouveau long-métrage de Méliane Marcaggi, « Belle Fille », sorti en salle le mercredi 19 août dernier. En pleine promotion du film, l’actrice septuagénaire avait dévoilé les coulisses des tournages, en émettant surtout des commentaires, en quelque peu, désobligeants, au sujet, justement de sa « Belle fille ».

Rieuse, plaisantin, complice mais très fêtarde… autant des qualificatifs qui décrivent à la perfection Alexandra Lamy. Depuis son grand succès avec « Un gars et une fille », la comédienne a pris une place incontournable dans le cœur des inconditionnels du Cinéma français. Mais jouissait-elle du même statut chez ses consœurs et confrères ?

En partageant la vedette avec Miou-Miou dans leur rôle de belle-fille et Belle-mère dans cette fiction, sa partenaire n’avait pas hésité à se faire une idée bien tranchée en se basant seulement sur ses comportements tout au long des tournages.

Questionnée sur les circonstances du recrutement, l’ex-compagne de Julien Clerc avait confié , au micro de la rédaction du journal quotidien Le Parisien, qu’elle a « (…) trouvé la proposition [de la réalisatrice Méliane Marcaggi , NDLR]originale ! Ça m’a fait rire tellement c’était inattendu […] Il y a une sincérité époustouflante et aucune duplicité ».

Cette grosse différence qui aurait pu tout gâcher…


Et apprenant qu’elle allait jouer aux côtés d’Alexandra Lamy, ce qui serait une grande première pour Miou-Miou, elle n’avait pas rechigné non plus.
« De toute façon, quand on sait qu’on va travailler avec Alexandra, c’est toujours une bonne nouvelle », certifiait-elle avant de reconnaître même que sa future collègue a « une réputation de bonne entente ».

Cependant, aux termes des enregistrements, Miou-Miou précisait que la « technique de concentration [de la sœur d’Audrey Lamy, NDLR] est tout le contraire de la mienne. Sur le plateau, elle a besoin d’être entourée d’énergie, de rires. Moi, j’ai besoin de concentration, de penser ».

Puis, elle terminait : « Le premier jour, on s’est annoncée mutuellement qu’il fallait qu’on se parle. Et c’était pour ça ! On en a conclu que ces différences ne nous dérangeaient pas du tout et finalement, on s’est complétée ».