Il est toujours difficile pour un parent de perdre son enfant. Maryse Rivoire continue de pleurer son défunt fils et ce, même au bout de huit après sa disparition.
Jean-Luc Delarue est passé de la vie à trépas le jeudi 23 août 2012 à l’hôpital américain de Neuilly sur-Seine. Il a succombé à son cancer gastrique et péritonéal. De son vivant, il a révélé son double cancer le 2 décembre 2011. Il était à la fois producteur et animateur vedette de France 2.
Maryse Rivoire faisait des confidences à Christophe Janin, ex-collègue du défunt, proche de la famille.
Des aveux qui font mal au cœur..
« La drogue, le cancer : Maryse a tout appris par la presse. Quand Jean-Luc était à l’hôpital, elle est venue de Marseille à Paris, pour le voir. Mais il avait donné la consigne de ne pas la laisser approcher… »
Maryse explique : « Je lui disais ‘Jean-Luc, tu vas dans le mur, méfie-toi. A quoi sert de gagner tout ce pognon ?’ mais il a préféré la rupture avec moi ».
« C’est une femme qui souffre terriblement. Même si elle ne le montre pas… » révèle Christophe Janin à Gala. « Maryse ne s’est pas remise de la mort de son fils et a encore énormément de regrets » termine-t-il.
L’année 2016, Maryse suspectait Anissa, son épouse d’avoir changé son testament quand il était à la phase finale de son cancer. La mère du disparu cherchait de l’aide du côté de son ex-compagne, Elisabeth Bost lui suppliant d’annuler leur mariage. Une requête malheureusement rejetée par la justice.
« J’ai la conviction intime que Jean-Luc n’aurait jamais voulu cela », avoue-t-elle à Paris Match, peinée de voir son petit-fils, Jean, devoir partager son héritage avec sa belle-mère.
En septembre 2018, la sortie du livre, « Jean-Luc Delarue, la star qui ne s’aimait pas », de Vincent Meslet, ancien responsable de France 2 avait accablé ses parents. Ce dernier évoque la descente aux enfers de l’animateur. « … l’invasion de la vie privée, c’est agresser la fragilité d’un homme et sa famille. Ça m’exaspère, ça me heurte profondément », révolte sa mère au micro de Cyril Hanouna. « Quel intérêt de mettre sans arrêt la part d’ombre en valeur ? À quoi ça sert ? À faire vendre ? »