Nagui est de nouveau aux commandes de La bande originale, son émission radiophonique. Content de le retrouver parmi eux, l’une de ses chroniqueuses n’a pas manqué de lui faire une vanne plutôt déplacée sur Michael Schumacher. De quoi outrer l’animateur…

Rappelons-le, c’est le 29 décembre 2013 que la vie de Michael Schumacher a basculé. Un an après avoir pris sa retraite sportive, le septuple champion du monde de Formule 1 a été victime d’un grave accident de ski sur les pistes de Méribel.

Son état de santé reste un mystère jusqu’à aujourd’hui.


Une chute qui a failli lui être fatale. Si son casque de protection lui a heureusement sauvé la vie, cela ne l’a pas empêché d’être plongé dans le coma durant de longs mois.

« Il faut imaginer une personne très différente de celle dont on se souvient sur les pistes, avec un état certes facilité par les soins intensifs qu’il a subis, mais qui concerne toujours un soin de longue durée, non seulement au lit, mais avec un cadre organique, musculaire et squelettique très modifié et détérioré », avait tenu à mettre en garde le neurochirurgien Nicola Acciari, dans les colonnes de Motorsport.

Le retour de Nagui sur les ondes de France Inter a fait beaucoup d’heureux. En témoigne la vanne lâchée par l’une de ses chroniqueuses, Morgane Cadignan.

Une blague assez osée portant sur le septuple champion du monde de Formule 1 : « C’est après avoir écouté une émission sur France Inter présentée par Nagui que j’ai voulu devenir chroniqueuse dans l’émission de Charline Vanhoenacker ! » et d’ironiser sur son plan de carrière qui est comme elle l’affirme est plutôt ‘raté‘ : « Parfois, c’est comme les crêpes ou Schumacher, parfois ça tombe à côté ! ».

Une référence crue à l’accident de l’Allemand, et qui n’a pas été bien accueilli par Nagui au point que sa réaction ne s’est pas fait attendre : « Ooooh ! Non ! Non ! Ça c’est moche ! ».

Et Daniel Morin, un autre chroniqueur de contrebalancer : « Mais c’est drôle ! ». Nagui persistait à maintenir sa position et le mari de Mélanie Page de susurrer encore : « Non c’est moche, c’est moche... » !