Le lundi 21 décembre prochain, Emmanuel Macron soufflera son 43ème bougie. Au cours du mois d’avril dernier, sa femme a marqué son 67ème printemps. Une différence d’âge qui fait systématiquement l’objet des diverses remarques désobligeantes et qui parfois, blessent la Première dame…

Tout le monde se rappelle encore de cette violente sortie de Laurent Ruquier, sur Brigitte Macron, en direct d’On n’est pas couché. « Brigitte a résisté à la canicule ! », déclarait-il en septembre 2018.

Il faut dire que depuis l’investiture de son mari à la présidence de la République française, les attaques sur son âge viennent du quatre coins de la planète.

Du Brésil avec le président Bolsonaro, en passant par les Etats-Unis avec le président controversé Donald Trump sans oublier des critiques qui viennent de son propre pays avec le prédécesseur d’Emmanuel Macron.

Selon une source proche de la maman de Tiphaine Auzière, François Hollande et Julie Gayet se plairaient à appeler l’actuelle Première dame par « la vieille ». Mais en faisant politique, l’ex-professeure de Français s’y est déjà préparée à voir ce genre de mauvaise plaisanterie.

« Dans quoi il m’a foutue ? », aurait-elle l’habitude de dire, selon les confidences faites par Ava Djamshidi et Nathalie Schuck dans leur fameux ouvrage Madame la présidente. « On a cherché les emmerdes… », a-t-elle tendance à dire lorsqu’elle évoque les 24 ans d’écart qui la sépare de son époux.

«Elle en a marre qu’on parle de son âge, elle sature ».


Mais d’une façon ou d’une autre, ces critiques ne sont pas sans conséquences sur le moral de Brigitte Macron. « Ce n’est pas quelque chose que j’ai fait. Je vais vieillir, on ne choisit pas », affirmait-elle dans ce livre lorsqu’elle fait face à ce genre de critiques.

Bref, à l’époque de l’affaire Benalla, une fausse rumeur circulait que la Première dame aurait menti sur son véritable âge. Très atteinte par le fake news qui a fait énormément de buzz sur les réseaux sociaux, Brigitte Macron a fini par passer quelques jours à la villa Monéjan au Touquet. « Elle en a marre qu’on parle de son âge, elle sature », publiait le Parisien.