Invitée dans Sept à huit, Laeticia Hallyday s’est livrée comme pas possible au micro d’Audrey Crespo-Mara. L’ex-mannequin a accepté comme rarement de revenir sur sa vie privée et particulièrement sur sa relation avec son actuel compagnon Pascal Balland. Sans compter la présence de Johnny Hallyday dans leur vie.

C’est durant cet été que Laeticia Hallyday et Pascal Balland ont fêté le premier anniversaire de leur rencontre. Pour l’occasion, les deux tourtereaux se sont donnés rendez-vous dans les lieux du crime, à Saint-Barth. Bien que la veuve du Taulier ait accepté de refaire sa vie avec un autre homme, Johnny n’occupe pas moins sa vie.

C’est bien pour son défunt mari que Laeticia Hallyday est revenue en France ce 12 octobre dernier. Elle va, lors de son séjour, multiplier ses apparitions au sein des médias entre plateaux télés, radio sans compter les entretiens pour le compte des magazines afin de promouvoir le nouveau coffret de Johnny Hallyday baptisée « son rêve américain » prévu sortir ce 23 octobre prochain.

Et ce dimanche 18 octobre, c’est au micro de « Sept à Huit » sur TF1, face à Audrey Crespo-Mara que Laeticia Hallyday commence sa quête. La belle-mère de David Hallyday est revenue sur le profond deuil qui l’avait submergé à la mort de Johnny Hallyday et sa difficulté à vivre et entamer une nouvelle relation amoureuse après la perte de cet homme auprès duquel elle a passé près de 20 ans de sa vie.

« On a tendance à comparer alors qu’il ne faut pas comparer ».


Tout en reconnaissant combien elle lui a été : « difficile d’apprendre à aimer« . Toutefois, elle salue notamment Pascal Balland pour être aussi « courageux » et d’accepter ainsi « la place de Johnny » au sein de leur nouveau couple.

Laeticia Hallyday admet même que : « C’est pas facile. On est souvent un couple à trois« . Puisque malgré le fait que cela fera bientôt trois ans que le Taulier soit mort, « Johnny est toujours là« , assurait la maman de Jade et Joy Hallyday, avant qu’elle ne poursuive : « Qu’un autre homme vous touche, que vous puissiez ouvrir votre cœur à un autre homme, ça paraît tellement compliqué, c’est vertigineux parce que le manque reste abyssal« .

Et de conclure : « On a tendance à comparer alors qu’il ne faut pas comparer« .