Conviés dans Quotidien ce 1er septembre pour la promotion d’Enorme, une comédie hilarante, emmenée par Marina Foïs et Jonathan Cohen, les deux comédiens se sont attirés les foudres de la chroniqueuse Maïa Mazaurette…
Comme bon nombre de programme télé, l’équipe du Quotidien reprennait également du service ce lundi 31 août, avec aux commandes Yann Barthès sur TMC. Ce mardi soir, l’émission accueille Marina Foïs et Jonathan Cohen, acteurs principaux de la nouvelle comédie de cette rentrée, Enorme. Un film qui s’attaque à un sujet plutôt délicat : celui de le la désappropriation du corps de la femme…
A 40 ans, Frédéric veut un bébé, Claire elle n’en a jamais voulu et ils étaient bien d’accord là-dessus. Il commet l’impardonnable et lui fait un enfant dans le dos. Claire se transforme en baleine et Frédéric devient gnangnan. Une histoire qui en a agacé une : la chroniqueuse Maïa Mazaurette. Cette dernière prenant très à cœur la cause féminine, elle ne s’est pas fait prier pour livrer le fond de ses pensées. Le film n’a surtout pas été à son goût !
Une œuvre qui, d’après elle, est « ambivalente« . « On a un personnage sympathique (Jonathan Cohen, ndlr), qui commet une action horrible, pour des raisons touchantes« , analysait Maïa Mazaurette. Et par la suite d’interroger Yann Barthès sur son opinion personnelle. Ce dernier qui préférait esquiver la question
« Mais dans la vraie, ça donnerait quoi ? », faisait-il mine de demander. « Légalement, il n’y a pas de qualification pénale pour la fécondation forcée, mais il y a entrave à l’IVG, donc deux ans de prison, et 30 000 euros d’amende« , expliquait la chroniqueuse, pendant que l’on voyait le visage de Marina Foïs se déformer profondément, elle qui semblait visiblement bouleversée.
Ce cadeau ironique !
Et Maïa Mazaurette de rajouter : « Il y a les mêmes troubles autour du « stealthing », quand on retire les préservatifs pendant ou avant les rapports, sans le dire à la partenaire évidemment, pour la loi, il y a ‘stratagème mis en œuvre pour surprendre le consentement’, et c’est pas bien... »
A la suite de quoi, Jonathan Cohen fût, lui aussi, un peu désorienté. Il n’a pu lâcher qu’un : « ça rigole pas ! » Une chronique qui s’est terminé sur un cadeau. Le comédien s’est vu offrir un ouvrage intitulé La mère parfaite est une connasse par la chroniqueuse ! Un présent assez ironique !