Il y a quelques jours, Sophie Davant, droit dans ses bottes, était revenue sur le départ précipité de Pierre-Jean Chalençon dans Affaire conclue.

Plus de trois ans après son lancement, Affaire conclue aura enfin droit à son prime time le 21 décembre 2020. Pour l’occasion, de nombreuses stars tenteront de faire grimper les enchères depuis le Musée des Arts Forains.

Dans le cadre de la promotion de ce grand événement, Sophie Davant a accordé une entrevue à la rédaction de Télé 2 Semaines. Depuis ces trois longues années, l’ex-femme de Pierre Sled a affirmé qu’il n’était pas toujours facile de gérer les membres de son équipe lorsque Julien Cohen lui avait interrogé sur son équipe de rêve.

« Il y a forcément des ‘historiques’, comme toi ou Caroline », débutait-elle, avant d’ajouter : « Mais c’est très important d’avoir également des petits nouveaux performants, comme Damien Tison« .

D’ailleurs, « l‘équipe ne cesse de se renouveler et on fait tout pour qu’il y ait un mélange de personnalités différentes », affirmait-elle déjà il y a quelques mois de cela. Mais « ce n’est pas toujours facile à gérer », réitérait-elle car « Il y a parfois des susceptibilités, des animosités et des clans ».

« On lui a dit qu’on ne pouvait pas se permettre de dire n’importe quoi… »


En effet, « les acheteurs sont livrés au vedettariat et il peut y avoir des excès. Je joue alors un rôle de grande sœur en les calmant et en expliquant qu’on ne peut pas faire n’importe quoi publiquement », expliquait-elle.

A juste titre, soutenait-elle, « Je pense à Pierre-Jean Chalençon, mais pas seulement. Je regrette d’ailleurs que Pierre-Jean ne soit plus là, il manque à l’émission, mais ce n’est pas faute de l’avoir alerté à plusieurs reprises…« .

De passage à l’antenne d’Europe 1 sur le plateau de Culture Médias en juillet dernier, la maman de Valentine et Nicolas avait déjà abordé le même problème.

« Il a un peu trop parlé sur les réseaux sociaux et (…) on lui a dit qu’on ne pouvait pas se permettre de dire n’importe quoi quand on est regardé par des millions de téléspectateurs. Et c’est quelqu’un de libre Pierre-Jean. Hélas, il n’écoutait pas ce qu’on lui disait », affirmait-elle.