Avant la reprise des prochains tournages inédits de son émission d’enchères, Sophie Davant profite encore des derniers moments de sa pause estivale dans le Morbihan. Ce mardi 18 août, l’animatrice d’Affaire Conclue a publié un cliché sur laquelle l’on voyait clairement la cicatrice sur son avant-bras. Ce qui a suscité beaucoup d’interrogations chez les fans.
Sophie Davant ne manque pas de partager les instants magiques de ses vacances avec ses abonnées en postant régulièrement des clichés sur la Toile. Toutefois, elle émet des réserves quant à sa vie intime. Elle en parle rarement. Mais ce mardi 18 août a été un peu particulière en ce que la star a révélé une partie de son histoire à ses abonnés !
« Good vibes« !
En effet, sur son fil Instagram, la maman de Valentine et de Nicolas a partagé un nouveau cliché ayant aiguisé la curiosité de bon nombre de sa communauté. Sophie Davant s’y est affichée avec son large sourire dans un pull saumon où il était inscrit « Good vibes« . Une phrase qui paraît effectivement refléter son état d’esprit du moment.
Mais c’est autre chose qui ont surtout attiré les regards de ses followers. C’est cette cicatrice sur son avant-bras droit. L’un des utilisateurs a donc pris la peine de lui demander d’où lui venait cette dernière. Et l’ex de Pierre-Sled aussitôt de rétorquer : « Blessure de guerre, en jouant au basket, petite… Très mal opérée« . Et à en voir les commentaires, l’internaute « r_obert_off » n’était pas le seul à se poser la question… « Ah ben voilà j’ai la réponse, je me suis toujours posé la question en vous voyant à la télé« , écrivait une autre de ses abonnés, qui a tenu à souligner que cette cicatrice « n’enlevait rien à son charme« .
Les fans sont charmés et continuent à la soutenir !
Avec cette publication, la Bordelaise de 57 ans a reçu une nuée de jolies compliments. Pouvait-on y lire : « Resplendissante comme toujours », « Toujours souriante notre Sophie », « Vous êtes radieuse, belle et intelligente, ne changez rien, j’aime comme vous êtes » ou encore « Un vrai canon« .
