Cyril Hanouna outré suite à une remarque grossière d’un de ses chroniqueurs ne s’est pas fait prier pour lui sommer de « dégager » de son plateau !
C’est enfin la rentrée pour la Darka qui a repris l’antenne de l’émission Touche Pas À Mon Poste depuis le lundi 31 août dernier avec presque toute sa bande. Un retour célébré en grande pompes…et parsemée de beaucoup de nouveautés entre autres le nouveau plateau révolutionnaire, les nouvelles recrues à l’instar de la ravissante Priscilla Liaud ou encore Jean-Pascal Lacoste.
Un début de saison compliqué !
Ce dernier qui a fait sa première intervention le vendredi 04 septembre dans la version « ouvert à tous » du talk-show, se faisait déjà remarquer, ce jour-là, par un de ses commentaires sur le biopic consacré à Grégory Lemarchal où il se disait être gêné de l’intérêt lucratif qu’y trouve TF1.
Sauf qu’il a récidivé ce soir, et pis encore ! Celui qui vient tout juste de reculer ses noces avec Delphine Tellier a réussi, en ce tout début de saison, à s’attirer sérieusement les foudres de Cyril Hanouna. En effet, Ce mercredi 9 septembre, sur le plateau a été débattu le sujet très brûlant portant sur le récent entretien de Paris Match de Nafissatou Diallo. Cette femme de chambre du Sofitel de New York qui accusait Dominique Strauss-Kahn (l’ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI), NDLR) d’agression sexuelle.
Pour remettre toute l’équipe dans le contexte, Cyril Hanouna a commencé par leur lire un extrait de cette interview exclusive en question : « À la question qu’avez-vous à dire à DSK, Nafissatou répond ‘rien, je n’ai pas envie de savoir ce qu’il lui arrive, je n’ai plus envie de penser à lui’… ».
Et Jean-Pascal Lacoste de l’interrompre en s’empressant de finir sa phrase par : « …la chambre est en bordel ! ».
Cyril Hanouna fût carrément offusqué de cette grossièreté qu’il lui a sommé de quitter son plateau et ce sans autre forme de procès ni aucune. « Allez… Sortez, sortez ! », lui avait-il dit. Voyant qu’il ne s’exécutait pas, Baba n’a pas manqué d’insister : « Dégagez, non mais c’est vrai, rentrez chez vous. Rentrez chez vous ! ».