Véronique Genest vient de perdre un être cher. C’est ce lundi 12 octobre que l’actrice en a fait part sur le réseau social à l’oiseau bleu. Son ami et confrère Yann Epstein vient de se suicider et ce du haut de ses 57 ans.
Le revers de la célébrité ! C’est une bien terrible nouvelle que vient d’annoncer Véronique Genest ce lundi 12 octobre. Elle a, en effet, annoncé la mort de son ami Yann Epstein. Et ce dans des conditions très bouleversantes, puisque l’acteur s’est suicidé. L’acteur qui, au courant de l’année 2012, jouait à ses côtés dans la série Julie Lescaut. Il y campait le rôle du docteur Uzan.
Les 24 ans de carrière de Yann Epstein.
Né à Casablanca, Yann Epstein avait décroché son premier rôle en 1971 dans le film de Gérard Blain Les amis. Tout au long de sa carrière, il a notamment tourné au cinéma dans Le Môme, d’Alain Corneau, Toujours seuls de Gérard Mordillat, avec Annie Girardot, Wasabi, aux côtés de Jean Reno.
Sans compter Marie-Line de Mehdi Charef aux côtés de Muriel Robin, Un Homme et deux femmes de Valérie Stroh avec Lambert Wilson, Scènes de crimes de Frédéric Schoendoerffer avec Charles Berling et André Dussollier. En tout six longs-métrages.
Le comédien avait mêmement joué dans la série Les vivants et les morts, sur France 2 en 2010, avec Robinson Stévenin et Marie Denarnaud, réalisée par Gérard Mordillat. Il avait aussi réalisé un court métrage intitulé La Glisse. En plus d’être voix-off dans des documentaires.
« Il était au bout du rouleau ».
C’est avec le cœur lourd que Véronique Genest l’ait annoncé sur son Twitter : « Mon pote Yann Epstein vient de se tirer une balle dans la tête. Il était au bout du rouleau. Putain de métier, putain de vie. C’était un super mec ! Je suis dévastée ».
Ses fans ont été nombreux à la soutenir dans son deuil. Peut-on lire : « Mince, de tout coeur avec toi. Pensées pour lui et ses proches. Quelle année de merde. Nous vivons vraiment des moments difficiles… Qu’il repose en paix désormais », « De tout cœur avec vous Véronique », « Vraiment navré, toutes mes condoléances ! », « Quelle horreur mes condoléances je n’ai pas les mots… ».
