Depuis l’entrée du pays en confinement, Brigitte Macron est sans cesse sollicitée par plusieurs écrivains et artistes. Le mardi 3 novembre dernier, en plein direct sur le plateau de Touche pas à mon poste, Bernard Montiel a révélé la liste de ceux qui tentent d’influencer la Première dame après chaque décision prise par son époux.

Le mardi 3 novembre dernier lors d’un nouveau numéro de Touche pas à mon poste, Bernard Montiel, un intime de la maman de Tiphaine Auzière a affirmé qu’effectivement, Brigitte Macron est systématiquement sollicitée suite à l’annonce de la fermeture des salles de spectacle , les cinémas, les librairies et tout à l’avenant.

« C’est une grande amatrice de culture ».


« Elle est amie avec un tas d’artistes. Du coup, comme son numéro circule bien, les artistes l’appellent. C’est vrai !« , déclarait, avant de divulguer la véritable identité de ceux qui ont tenté d’influencer la Première dame.

« Il y a eu notamment l’écrivain Philippe Besson, qui demande à ce qu’on rouvre les librairies. Vianney l’a appelée et lui a même envoyé son nouvel album. Il y a tous les artistes qui l’appellent », affirmait-il, avant de préciser qu’ « elle est d’accord ! »…Mais « C’est son mari le président de la République donc évidemment qu’ils se parlent ! Evidemment qu’elle est influente ! C’est un couple fusionnel, ils échangent tout le temps« .

Vers la fin, Bernard Montiel a tenu à informé le public que Brigitte Macron, tout comme les principaux concernés était « catastrophée » par toutes ces fermetures. « Michel Boujenah l’a appelée. Tout le monde l’appelle ! Guillaume Galienne aussi. (…) C’est un drame, elle le vit comme tel et elle lui dit« , rajoutait-il encore.

« C’était intenable, il fallait fermer le maximum de commerces…»


En effet, jusqu’au vendredi 28 octobre dernier, Brigitte Macron, a réellement lutté pour qu’au moins, les librairies soient épargné mais Emmanuel Macron en a décidé autrement face à la gravité du second foyer de contamination du Covid-19 dans l’ensemble du territoire.

« Lors du conseil de défense, le président a regardé les chiffres sanitaires. C’était intenable, il fallait fermer le maximum de commerces« , rapportait un ami en commun du couple présidentiel au micro de la rédaction du journal Parisien.