Marianne Delcourt qui se retrouve toujours en état de choc suite à son histoire de viol, ses proches lui prépareront prochainement un mariage surprise ! Lors d’une entrevue donnée à Télé Star, son célèbre interprète, Luce Mouchel de son vrai nom, avait livré un avant-goût de cet événement tout en laissant même filtrer quelques détails très alléchants.

Une très bonne nouvelle se prépare enfin pour Marianne Delcourt ! Après la célébration des noces de Chloé et d’Alex, c’est le tour de Marianne Delcourt et Renaud de se dire « oui » devant la mairie de Sète.

Alors que les choses ne semblent pas s’améliorer entre ces derniers depuis le viol, ses proches vont tout faire pour remettre sur les rails ce couple mythique en allant jusqu’à concocter leur mariage.

L’idée venait de sa fille Chloé (Ingrid Chauvin). Avec l’appui de son mari Alex (Alexandre Brasseur) et de leurs deux enfants, Maxime (Clément Rémiens) et Judith (Alice Varela) , ils vont tout mettre en place pour arriver à leur fin. Mais les choses risqueront de se compliquer…

Grande révélation pour le mariage de Marianne et Renaud.


Si dans un premier temps, ils réussiront à éloigner Marianne de Sète, cette dernière parviendra tout de même à y revenir…et ce retour risquera de chambouler le projet en question. Par ailleurs, connaissant qu’elle avait déjà décliné la première demande en mariage de Renaud, Marianne, acceptera-t-elle enfin pour cette fois-ci ?

Si la réponse ne sera pas connue qu’à compter du vendredi 14 août 2020, Luce Mouchel, avait accepté de donner quelques détails.
« Un tas de stratagèmes a été mis en place… Renaud se plie en quatre, le pauvre ! Marianne va l’envoyer paître lors de sa nouvelle demande. Elle est pourtant très émue par tout ce qui a été mis en œuvre « , déclarait-elle.

Si Marianne Delcourt est contre le principe de se lier pour toute la vie à son compagnon, elle se déclare être « une grande romantique au fond « , tout en expliquant qu’ « Elle est attirée par l’idée du mariage car elle aime Renaud. Si elle gardait son indépendance et qu’on lui foutait la paix, elle serait partante !«