Emmanuel Macron serait-il maudit avec ses gardes du corps ? Un autre de ses gardes rapprochés vient de commettre une énorme imprudence…

En effet, dans son numéro paru ce jeudi 15 octobre, Le Point rapporte certains détails remontés en surface des vacances estivales de Brigitte et Emmanuel Macron au sein de leur résidence d’été au Fort de Brégançon. Peut-on y lire qu’un des gardes du corps de l’équipe du chef de l’Etat a enfreint une règle d’or en plein service. C’était lorsqu’il assurait la sécurité du couple présidentiel au cours de leur passage à Bormes-les-Mimosas dans le Var.

Après Benalla, Mike,…Un autre vient rejoindre la liste!


Expressément, ce mois d’août dernier, un policier du GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République) a, en effet, amené une femme qu’il avait croisé dans un bar, dans sa chambre d’hôtel qui se trouvait juste en face de l’établissement où il logeait à Bormes-les-Mimosas. C’était sans compter qu’un employé de l’hôtel allait le dénoncer auprès du colonel Benoît Ferrand, chef de la sécurité d’Emmanuel Macron.

Toujours selon Le Point, Benoît Ferrand en personne aurait décidé de l’affecter avec pour motif faute professionnelle comme il en avait fait part au président de la République. Malgré les sempiternels avertissements du directeur du GSPR, le policier fait toujours partie intégrante de l’équipe de sécurité de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron. Il n’aurait donc pas encore été sanctionné jusque-là.

Et ce n’est pas le premier à avoir eu des comportements aussi imprudents ! En effet, Emmanuel Macron a, depuis son élection, fait face à de multiples soucis avec ses agents de sécurité… au point que l’on vienne à se demander s’il ne serait pas maudit. Puisque cela fait rappeler la fameuse affaire Benalla, ce dernier ayant écorné l’image présidentielle.

Sans compter le cas d’un certain Mike en août 2019 tel indiqué dans les colonnes du Point, un gendarme de la Garde républicaine chargé de la protection du Fort de Brégançon avait été éconduit à Paris, après s’être lamenté des conditions dans lesquelles son unité était hébergée. En effet, ses hommes logeaient au sein d’un hôtel réquisitionné où « la climatisation (était) restée en panne durant deux jours ».

Toujours selon Le Point, ce renvoi émane directement de Benoît Ferrand. « Il aurait mal digéré que le chef de l’État lui demande des explications » . « Pas de syndicaliste chez nous ! », aurait avancé une source proche de la gendarmerie.