L’enfance d’Isabelle Boulay n’a pas été des plus tendres et a été marqué par un événement particulièrement très tragique. Un grave accident de la route qui est survenu à ses 08 ans et qui a été très bouleversante pour la petite fille qu’elle était …
Après avoir été amené à se séparer de son compagnon pendant la période de confinement, Isabelle Boulay a vite pris l’avion destination Paris pour des retrouvailles en amoureux avec le nouveau Garde des sceaux Eric Dupond-Moretti. Elle n’a pas manqué d’assister à sa nomination à Paris. Après quoi les deux tourtereaux ont posé leurs valises sur la Côte d’Azur, dans le sud de la France.
Sa rencontre avec Eric Dupond-Moretti.
Une romance qui a vu le jour quatre ans plus tôt lors d’un dîner organisé par des amis en communs, comme indiqué dans Paris Match dans son édition daté du jeudi 06 août 2020. Au cours de la même année soit en 2016, le célèbre pénaliste a divorcé de sa femme Hélène, avec qui il a eu ses deux fils Clément et Raphaël.
La chanteuse québécoise et celui surnommé l’Acquittator sont très discrets quant à leur vie de couple. De plus, ils ne partagent pas le même toit quotidiennement étant donné qu’ Isabelle Boulay fait des va-et-vient entre Paris et Montréal. Sa famille et son fils Marcus (12 ans) y vivent. Cependant, leur idylle reste intense.
Un couple réunit par leur amour et leur douleur.
Un couple réunit par leur amour et leur douleur. Pendant son enfance, Isabelle Boulay a, en effet, vécu un terrible drame. C’était à ses 08 ans. Son père avait eu un effroyable accident de circulation le soir de Noël. Après quoi, il a été physiquement diminué et était tombé dans la dépression totale au point d’avoir quitté sa famille pour aller vivre dans une cabane au fond des bois. « Après 10 mois d’hôpital, il est parti en forêt. Elle ne l’a presque plus jamais revu » rapporte toujours l’hebdo.
Une épreuve douloureuse vécue précocement qui vient rejoindre celle de son compagnon puisque Eric Dupond-Moretti avait, lui aussi, perdu son père très tôt, du temps de ses 04 ans. « C’est peut-être ce qu’on a en commun » confessait la chanteuse au JDD.