Durant son passage sur RTL, le samedi 26 septembre 2020, François Cluzet a émis de violente critique envers Jean-Marie Bigard. Une occasion pour l’acteur de régler ses comptes avec l’humoriste. Mais la réponse de ce dernier ne se fait pas attendre…
Depuis de nombreuses années, François Cluzet n’a jamais apprécié Jean-Marie Bigard. Il le lui a fait savoir de façon claire et nette que le comédien qui souhaite succéder à Emmanuel Macron n’est rien d’autre que le « roi des beaufs« .
En effet, l’acteur estime qu’il n’a pas l’étoffe d’un vrai politicien. « C’est tellement nombrilique, égocentrique, le mec veut faire parler de lui. Mais qu’il fasse parler de lui par la tolérance (…) Il y a quand même assez d’intolérants dans ce monde ! C’est son rôle à lui d’artiste avec trois ‘H’ devant parce que vraiment on se demande s’il en est un« , déclarait François Cluzet avec acharnement.
« Moi-même je ne me revendique pas comme un artiste. Mais jamais je ne pourrais tenir des propos aussi bêtes (…) Il te restait un neurone et tu l’as laissé dans la cave ou quoi ?« , poursuivait-il avec froideur.
Par ailleurs, le comédien de 65 ans n’a pas manqué aussi de critiquer violement le penchant de Jean-Marie Bigard pour la vulgarité qu’il arbore dans la plupart des cas dans ses Tee-shirt. En cette période de pandémie, le comédien a changé de stratégie. C’est sur son masque qu’il « nous adresse à tous un mot de bienvenue qui consiste à dire ‘Allez tous vous faire…‘ ! », terminait-il. « C’est le chameau qui se moque du bossu »
« J’ai des couilles et je les sors… »
Comme il fallait s’y attendre, la réaction du principal intéressé était immédiate et c’était très cash lors de son intervention sur l’antenne de RMC et sur RMC Story suite à l’invitation des « Grandes Gueules » le lundi 28 septembre dernier.
« J’ai insulté Olivier Véran exprès pour faire réagir des mecs comme lui« , a débuté Jean-Marie Bigard par téléphone lorsque les journalistes de ce programme lui ont posé la question. Pour répondre à son plus grand détracteur, il a d’abord suggéré de substituer le vocable « beauf » par un mot beaucoup plus approprié pour le décrire, c’est-à-dire, « peuple« . Dans ce cas de figure, « roi des beaufs » devient « roi du peuple« .
Ainsi, poursuivait-il, François Cluzet « (…) se retrouve à lécher le cul des gouvernants et insulte le peuple démuni qu’il traite de beaufs, qui n’ont plus rien et qu’on laisse crever ». Finalement, concluait-il, « C’est le chameau qui se moque du bossu ».
Au sujet de l’écriteau soigneusement inscrit sur son masque, l’auteur du « lâcher de salopes » explique qu’il s’agit avant tout d’un « (…) message en forme de promesse ou de menace, selon les goûts », avant de crier haut et fort : « J’ai des couilles et je les sors, je ne reproche pas à François Cluzet de ne pas avoir été livré«