A l’occasion du premier mois de son fils, Laura Smet n’a pas manqué d’immortaliser cette journée. Raison pour laquelle la comédienne a posté sur son compte Instagram ce samedi 07 novembre le premier cliché de son petit bout de chou.

C’est le 7 octobre dernier que Laura Smet a mis son premier enfant au monde…Un petit garçon auquel la fille de Johnny Hallyday et son mari Raphaël Lancrey-Javal a donné le nom Léo Jean Didier Lancrey-Javal, un prénom qui a été soigneusement choisi. En cause : il est chargé en histoires.

Un prénom chargé d’histoires.


Puisque “Léo” était en effet le deuxième prénom du défunt père de Laura Smet. Mais pas que ! “Jean” était le prénom par lequel on l’appelait ( Johnny Hallyday s’appelait en réalité “Jean-Philippe Smet”, NDLR). Quant à “Didier”, ce prénom est un petit clin d’œil à celui du regretté paternel de Raphaël Lancrey-Javal.

Le cliché en question a été gratifié de nombreux tendres commentaires de la part des proches familles à l’instar de son oncle David Hallyday ou encore de Nathalie Baye, la grand-mère maternelle du petit loupiot.

Qui plus est, l’ex de Johnny Hallyday est à son premier petit-enfant, un nouveau rôle qu’elle n’a pas manqué de commenter dans Madame Figaro : “J’espère être une bonne grand-mère ! Les miennes étaient particulièrement merveilleuses, joyeuses, et me faisaient faire des tas de choses. J’espère surtout rassurer ma fille quand elle se séparera de son enfant. Avoir un enfant, c’est découvrir un amour qu’on ignorait jusque-là, il y a quelque chose de l’ordre de l’unique. Et si on veut bien faire les choses, tout n’est pas facile dans l’éducation, mais la difficulté est intéressante”.

Les abonnés de Laura Smet ont eu l’occasion d’apercevoir un tendre cliché du petit Léo ce samedi 7 novembre, un mois depuis sa naissance.

La star de La Garçonne a, à cet effet, posé aux côtés de son fils bien qu’il est carrément impossible de déceler le visage de Léo puisque l’on ne pouvait y apercevoir que l’ombre du bébé et de sa maman qui le porte. Accompagnée de la légende : “Run baby run”.