Cécilia Siharaj, l’ex-aventurière du jeu de survie de la première chaîne, Koh-Lanta, Thaïlande, a goûté à la joie de la maternité, pour la toute première fois, le 18 août 2019. Une opportunité qui lui a permis d’être sélectionnée pour participer à l’émission en vogue de TFX, Mamans et célèbres. Toujours un cœur à prendre, la jeune femme s’apprête à rencontrer son âme sœur d’ici peu.

TFX bat son plein avec la diffusion de la nouvelle édition de son programme favori, Mamans et célèbres. En effet, cette deuxième saison réunit les grands noms de la téléréalité française, à savoir Julia Paredes, Cindy Poumeyrol, Kelly Helard Jesta, Julie Ricci, Stéphanie Clerbois, Martika et Wafa, mais également Cécilia Siharaj.

Durant une entrevue donnée à la rédaction de Purepeople, la maman de la petite Sway a confié quelques détails très surprenants autour de sa participation à cette émission qu’elle « aime beaucoup ».

« Je trouve ça super de pouvoir découvrir des mamans qu’on a pu voir dans des émissions de télé-réalité et autres programmes télévisés », a-t-elle affirmé dans un premier temps.

En effet, s’expliquait-elle, « voir leur quotidien éveille la curiosité et puis ça donne des idées. Et si je peux partager mon histoire, donner du soutien et du réconfort à celles qui en ont besoin, c’est super ».

« Je ne suis pas fermée ».


Par ailleurs, c’était également une occasion pour la jeune maman célibataire âgée à peine de 31 ans de se confier sur sa vie intime. Et en croire à ses propos, elle est disposée à se mettre, de nouveau, en couple.

« Je ne suis pas fermée », débutait-elle, avant d’ajouter : « Là, je ne vais pas vous mentir, cette première année, ça aurait été impossible, ne serait-ce que d’y penser. Là, même si je suis très très fusionnelle avec Sway, les choses évoluent un peu ».

« Ma fille », enchaînait-elle, « va à la crèche depuis maintenant trois semaines, j’habite dans le Sud. Ça nous permet à chacune de prendre un peu d’indépendance. Je recommence à prendre soin de moi, à avoir des moments pour moi et ça fait du bien ».

Et de conclure en précisant clairement que «…oui, je commence à y penser et à me dire que la porte n’est pas fermée. Ça peut être envisageable. »