Le mercredi 28 octobre dernier, l’ancienne reine de beauté, Marine Lorphelin a fait part d’une très mauvaise nouvelle via son fil Instagram…
Il y a quelques jours encore, Marine Lorphelin s’est beaucoup donnée pour sensibiliser sa communauté de la gravité de la situation sanitaire actuelle. Très alarmiste, la jeune femme estime que la seconde vague peut s’avérer plus ravageuse encore que la première.
“Quasi 3000 patients covid en réa, et + de 500 décès sur les dernières 24h. Meme avec les mesures prises en place ce soir, vu le nombre de Cas + et sachant que les malades deviennent grave avec le temps on risque d’aller vers la cata », résumait-elle, avant d’affirmer, très fataliste : « C’est plus une 2e vague c’est un tsunami ».
Vers la fin, la jeune femme a encouragé tout le monde de toujours prôner la solidarité dans la bataille contre le virus. “Courage à tous(…). Le pays a déjà tellement souffert économiquement, socialement. Il va falloir une solidarité nationale énorme pour limiter la casse… », a-t-elle conclu.
« On pense faire au mieux et ça ne suffit pas face à l’épidémie très active »
Le mercredi 28 octobre, Marine Lorphelin a repris contact avec ses abonnés pour leur annoncer une très mauvaise nouvelle. En effet, la jeune femme, en tenant compte les symptômes qu’elle présente est atteinte de la maladie à coronavirus.
« J’ai des symptômes qui ressemblent fortement à la Covid. J’ai perdu le goût et l’odorat… », informait-elle, avant de confier : « Et je peux vous dire que c’est très chiant ça m’attriste beaucoup de ne plus sentir ce que je mange, moi qui suis une vraie gourmande ».
Mais jusqu’à preuve du contraire, poursuivait-il, « je n’ai pas de symptômes plus graves, je croise les doigts ».
Naturellement, enchaînait-elle, « Je me suis fait dépister vendredi par une PCR qui est revenue négative ». Cependant, elle affirme que les symptômes persistent. « J’ai développé des symptômes dimanche et cette perte de goût et d’odorat ”, confirmait-elle.
« Malgré masques, gestes d’hygiènes, très peu de contacts extérieurs… comme quoi on pense faire au mieux et ça ne suffit pas face à l’épidémie très active », terminait-elle.