Cela fait maintenant 20 ans que Michaël Youn, accompagné de ses fidèles acolytes Vincent Desagnat et Benjamin Morgaine, fait le pitre depuis sa mythique émission, Morning Live. Tout au long de ces deux décennies, le volcanique animateur, en véritable électron libre, s’amuse à dépasser toutes les bornes imaginables. Par contre, quand un membre de sa famille, comme récemment le cas de sa fille Seven, éprouve du chagrin, l’artiste sait faire preuve d’une grande sensibilité en se référant à sa dernière publication dans son fil Instagram le 27 septembre dernier.

En effet, l’animateur s’est démarqué des autres grâce au succès, presque planétaire de son personnage favori, Fatal Bazooka. Mais son succès ne s’est pas limité là. A travers les Bratisla Boys, il est considéré comme l’un des pionniers des parodies de groupes et de personnages existants. Un exploit qui lui a valu d’être surnommé Michaël Youn, l’indomptable.

«La serrer fort, lui mettre une jolie musique, sécher ses larmes… »


Mais depuis la naissance de ses enfants, Seven, âgée de 8 ans et Stellar son petit frère d’à peine un an, nés de sa relation avec Isabelle Funaro, l’ex-femme de Pascal Obispo, l’animateur déjanté s’est attendri…

Une paternité qui avait, sans doute, beaucoup pesé dans sa décision de devenir le co-coach dans The Voice Kids auprès de Patrick Fiori. Une belle image qu’il peut désormais savourer avec sa famille contrairement à celle de la quinzième cérémonie des 7 d’Or où il s’affichait en public en portant un string et nœud papillon.

Pour revenir à ce dimanche 27 septembre, l’animateur était, lui aussi triste, en voyant sa fille agenouillée dans la forêt entrain d’enterrer son lapin. « La serrer fort, lui mettre une jolie musique, sécher ses larmes, ne pas se cacher, lui expliquer le cycle de la vie et l’irréversibilité de la mort, et surtout lui parler du privilège que Capitaine Carotte et elle ont eu de vivre ensemble », écrivait-il en légende de ce cliché hors du commun.