Une des candidates de N’oubliez pas les paroles est revenue sur la fois où elle avait croisé Jean-Jacques Goldman !
Jean-Jacques Goldman fait toujours effet lorsque son nom est évoqué. Malgré qu’il s’est retiré de la scène publique depuis son départ des Enfoirés en 2016, et que depuis, il mène sa vie incognito à Londres aux côtés de sa femme Nathalie et de ses trois filles, il reste une grande légende !
Très discret depuis son exil, le chanteur n’a fait que deux apparitions depuis cette année (2020, NDLR). La toute première fois, le mois de février dernier, avant que la pandémie de Covid-19 ne ravage la France, dans une vidéo où il saluait la carrière de Maxime Le Forestier.
La deuxième fois où Jean-Jacques Goldmann est sorti de l’ombre, c’était au cours du confinement en vue de rendre hommage aux professionnels de santé et ceux qui de près ou de loin sont de front dans la lutte contre le coronavirus. Il les a salués en faisant une reprise d’une de ses chansons cultes.
« Écoute Jean-Jacques, on vient te voir tout à l’heure ».
Dans un nouvel épisode de NOPLP sur France 2 de ce lundi 03 août, le présentateur phare a accueilli une très grande adepte de l’interprète de Je te donne. La candidate qui répond au nom de Vanessa s’est donc mis à relater la fois où elle a fait la rencontre de Jean-Jacques Goldmann.
Elle a précisé qu’elle avait, juste après leur rencontre, assisté à un de ses concerts au Dôme de Marseille en 1998. Elle l’a, en effet, croisé dans la rue ! « On va le voir avec une amie et en fait on croise un piéton. Je suis en voiture et je me dis : ‘Incroyable !’ Je l’ai reconnu, il avait un bonnet pourtant, mais c’était Goldman », commençait-elle à raconter, « On s’est arrêtée, on a essayé d’être discrètes quand même. On lui a dit : « Écoute Jean-Jacques, on vient te voir tout à l’heure ».
« Profitez bien ! » leur rétorquait le chanteur, en n’omettant pas de leur signer des autographes. Cette année-là, l’artiste était en pleine tournée d’En Passant Tour où il a fait le bonheur de tout un monde par ses tubes « Il suffira d’un signe / Quand la musique est bonne », « Peur de rien (blues) »ou encore « À nos actes manqués »…