Aux manettes d’un nouvel épisode de N’oubliez pas les paroles, Nagui a, ce mercredi 23 septembre, été choqué de l’étrange cadeau reçu par sa candidate Margaux lors de la fête des amoureux.
« Je n’ai jamais vu ça ! » Voilà tout ce qu’a trouvé à dire le présentateur vedette de France 2 après que Margaux lui ait raconté son anecdote. Cette dernière venue ce mercredi 23 septembre affronter Sophie, l’actuelle Maestro.
Mais avant de commencer sa prestation, elle n’a pas manqué de relater une petite historiette comme de celles qui plaisent à Nagui : « Un moment de solitude à la Saint-Valentin, où l’on vous a offert… Non pas un, mais deux cadeaux bidons ! », tease l’animateur.
« J’ai été chanceuse », s’amusait à dire Margaux, avant d’en dire un peu plus : « J’ai reçu des fleurs, puis dessous, il y avait… de la rosette ! Du saucisson sec, vraiment… », assurait-t-elle devant l’air abasourdi du mari de Mélanie Page. « On me l’a fait livrer au travail, mais vraiment je savais plus où me mettre ! »
Ce qui intriguait encore plus Nagui qui lui a donc questionné : « Le saucisson il était à l’ail, pour puer ? C’était quoi le message ? ». Et sa candidate de poursuivre : « Euh, il y’avait écrit un petit mot : ‘Les fleurs, c’est bien, mais le saucisson, c’est mieux !’ »
Les joutes verbales entre Nagui et Fabien, on ne s’en lasse jamais !
Et Fabien Haimovici de s’immiscer dans la discussion : « Je suis un peu d’accord ». Nagui de le contredire : « Mais non, mais non » puisqu’il ne s’agit aucunement de son copain ! Et Fabien d’admettre que le pire cadeau reste l’aspirateur. « Mais c’est utile un aspirateur ! », lui rétorque l’animateur. « Oui, mais ça fait moins plaisir, alors qu’une saucisse, t’es content… », répondait par la suite le musicien.
« Un aspirateur, ça peut faire très plaisir ! », maintenait Nagui avant que Fabien ne vienne lui demander : « Ouais, mais c’est un peu machiste quoi ! Tu offres un aspirateur à la Saint-Valentin à ta meuf, toi ? Je voudrais voir ».
Et Nagui de finir par céder et en être convaincu après qu’il s’est esclaffé : « Non, non, quand tu aimes manger, tu offres du chocolat à la limite… ». Quand ces deux-là s’y mettent ! ça n’en finit pas !