Pierre-Jean Chalençon et Caroline Margeridon, qui ont toujours été très complices, n’hésitent pas, aujourd’hui, à se quereller par médias interposés. Ce mardi 11 août, le spécialiste de l’ère napoléonienne a ouvert les hostilités de par ses commentaires sur Instagram. Mais, aujourd’hui, Pierre-Jean Chalençon affirme souhaiter que cette guerre prenne fin !

Pierre-Jean Chalençon et Caroline Margeridon, connus pour être acheteurs dAffaire Conclue ont eu une grande échauffourée par le biais des médias ce mardi 11 août. Une altercation qui a fait beaucoup d’étonnés à cause de la vieille amitié qu’ils se sont tissés depuis. Cette brouille entre eux d’eux continue à faire du bruit.

« C’est du grand n’importe quoi ! »


Questionné à cet effet par Télé-Loisirs, Pierre-Jean Chalençon s’est expliqué qu’il ne pensait à aucun moment semer la discorde entre eux deux : « En général, je suis assez provoc’. Mais alors là, pas du tout. On va mettre les choses au clair : je n’ai absolument pas attaqué Caroline Margeridon et ne cherche pas la bagarre avec elle ! Elle pense ce qu’elle veut, mais qu’elle me laisse tranquille. Elle a commencé à sortir des trucs, j’étais sidéré ! Je n’ai pas du tout compris. C’est du grand n’importe quoi ! ».

« Je ne pensais pas qu’elle était comme cela »


Et de rajouter une couche : « Je pense que sa nouvelle vie lui a fait tourner la tête, mais il ne faut pas oublier d’où elle vient, qui elle est et ce qu’elle fait. Je n’ai rien contre elle. Paris est petit, on va se revoir, tout cela rentrera dans l’ordre certainement, si c’est une fille intelligente. Caroline, je pensais que c’était mon amie. A priori, ça ne l’est pas. Cela m’a peiné parce que c’est une fille que j’aime bien. Je ne pensais pas qu’elle était comme cela. »

« C’est bon, c’est fini, on n’en parle plus »


Des propos qui ne feront certainement pas plaisir à l’acheteuse d’Affaire Conclue, le compagnon de Dragan a fait savoir vouloir oublier cette affaire « Je ne veux pas mettre de l’huile sur le feu, au contraire, je veux que cela se calme. Je tiens à démentir formellement et catégoriquement que j’ai cité Caroline Margeridon dans ce texte. C’est bon, c’est fini, on n’en parle plus. »